AG1 RAID

Première nĂ©e de la maison MATWATCHES, ce garde temps robuste de forme tonneau inspirĂ© des 70’s, Ă©tanche Ă  200M a su satisfaire le cahier des charges bien prĂ©cis des membres du RAID et a ancrĂ© la marque dans l’univers militaire. Cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e de 150 pièces. Les aiguilles et cadran sont traitĂ©s avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilitĂ© optimale en milieu aquatique ou de nuit.

CrĂ©e en 2005, cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e et n’est plus disponible Ă  la vente

RAID

Le RAID est une unitĂ© d’Ă©lite de la Police nationale française. Le nom est choisi en rĂ©fĂ©rence au mot « raid », dĂ©signant un assaut militaire, mais a reçu par rĂ©tro acronymie le sens Recherche, Assistance, Intervention, Dissuasion.

FondĂ©e en 1985, par Robert Broussard et Ange Mancini notamment, l’unitĂ© participe sur l’ensemble du territoire national Ă  la lutte contre toutes les formes de criminalitĂ© et de grand banditisme.

PlacĂ© sous l’autoritĂ© directe du directeur gĂ©nĂ©ral de la Police nationale, le RAID est appelĂ© Ă  intervenir Ă  l’occasion d’Ă©vĂ©nements graves, nĂ©cessitant l’utilisation de techniques et de moyens spĂ©cifiques pour neutraliser les individus dangereux, par la nĂ©gociation ou l’intervention.

Son rĂ´le est notamment d’agir dans les situations de crise, du type prise d’otages, retranchement de forcenĂ©s ou arrestation de malfaiteurs Ă  haut risque (grand banditisme), mais aussi de contribuer Ă  la lutte antiterroriste en apportant son concours Ă  l’UnitĂ© de coordination de la lutte anti-terroriste (UCLAT) et aux autres services spĂ©cialisĂ©s, afin de mener des opĂ©rations de filature, d’observation, de renseignement et d’arrestations d’individus ou de groupes susceptibles de se livrer Ă  des actions terroristes sur le territoire français.

Le service est basĂ© Ă  Bièvres, sur le domaine de Bel-Air, dans le dĂ©partement de l’Essonne, siège de l’unitĂ© centrale, et dispose, en outre, de sept antennes, rĂ©parties sur le territoire mĂ©tropolitain, Ă  Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg. Sa devise est : « Servir sans faillir ».

Le RAID fait partie de la force d’intervention de la police nationale. PlacĂ©e sous l’autoritĂ© du directeur gĂ©nĂ©ral de la police nationale, l’unitĂ© est dirigĂ©e par un fonctionnaire du corps de conception et de direction de la police nationale.

Le RAID ne peut être déplacé ou employé que sur ordre du directeur général de la police nationale. Il n’intervient que sous le commandement de sa hiérarchie. Il n’a pas compétence pour la suite judiciaire des faits sur lesquels il est intervenu. Il peut être mis à la disposition des préfets et des procureurs de la République qui en font la demande. Dans ce cas, l’autorité requérante définit la mission générale assignée à ce service. Le chef de l’unité chargé de l’exécution de la mission demeure seul responsable des conditions et des modalités techniques de son exécution. Les chefs des services territoriaux de police lui apportent leur concours4.

Ă€ compter du mois d’avril 2015, les sept GIPN mĂ©tropolitains, situĂ©s dans les villes de Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg, sont officiellement incorporĂ©s au sein du RAID et en deviennent ses antennes territoriales5,6.

Ă€ l’issue de cette rĂ©forme, seuls les trois GIPN ultra-marins conservent ainsi leur dĂ©nomination d’origine.

Fiche technique

BRACELETS

1 bracelet en acier, 1 cuir Bund, 1 tactique en toile.

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – Fabriqué en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S+Date

BOITIER

MatĂ©riau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova avec 12 index
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 2,5mm
Fond : Massif acier 316L, Renforcé,Vissé
Couronne : Vissée diamètre 6mm
Dimension : 42mm
Epaisseur : 13,5mm

CG1 GSPR

Garde temps fabriquĂ© pour les membres du GSPR. Son boitier ergonomique de forme tonneau inspirĂ© des 70’s de gamme classique est Ă©tanche Ă  200M. Les aiguilles et cadran sont traitĂ©s avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilitĂ© optimale en milieu aquatique ou de nuit.

CrĂ©e en 2006, cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e et n’est plus disponible Ă  la vente.

GSPR : GROUPE DE SECURITE DE LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

Le Groupe de sĂ©curitĂ© de la prĂ©sidence de la RĂ©publique (GSPR) est une unitĂ© de la police nationale française et de la Gendarmerie nationale, rattachĂ© administrativement au Service de la protection (SDLP). Les policiers sont issus du SDLP et les gendarmes de la Force SĂ©curitĂ© Protection du GIGN. Elle a deux missions distinctes mais complĂ©mentaires : assurer la protection personnelle et immĂ©diate du prĂ©sident de la RĂ©publique française, de sa famille (dont la Première dame de France), de certaines personnalitĂ©s (anciens prĂ©sidents, candidats Ă  la prĂ©sidence, certains conseillers prĂ©sidentiels) ainsi que de leurs rĂ©sidences officielles (mission souvent conjointe avec la Garde rĂ©publicaine), comme le Palais de l’ÉlysĂ©e ;

Mettre en Ĺ“uvre l’ensemble des mesures nĂ©cessaires Ă  l’organisation matĂ©rielle et Ă  la sĂ©curitĂ© des dĂ©placements des personnes citĂ©es ci-dessus (mission conjointe avec l’Escadron de transport 60 lorsque le transport a lieu en avion ou en hĂ©licoptère). Lors des voyages Ă  bord de Cotam UnitĂ©, le personnel de sĂ©curitĂ© entourant le PrĂ©sident se compose Ă  la fois d’agents du GSPR et de fusilliers-commandos de l’armĂ©e de l’air.

Le Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) a été créé, par le décret no 83-14 du 5 janvier 1983 et mis en place par le colonel de gendarmerie Christian Prouteau qui avait mis en évidence des failles dans le service de sécurité du Président de la République François Mitterrand ainsi que pour protéger sa fille cachée (Mazarine Pingeot).

Historiquement, avant cette date seul avait été créé en 1943 le GSP (Groupe spécial de Protection) affecté à la sécurité de Pierre Laval, la protection du président étant confiée avant et après au Service de protection des hautes personnalités.

L’unitĂ©, composĂ©e majoritairement de gendarmes de l’ancien GSIGN Ă  sa crĂ©ation, devient totalement mixte Ă  partir de 1995, le groupe comptant alors 26 membres de la gendarmerie nationale et 26 membres de la Police nationale2.

La première femme intègre le GSPR en 1998.

Après la tentative d’attentat de Maxime Brunerie le 14 juillet 2002 sur la personne du prĂ©sident Jacques Chirac, les effectifs augmentent et passent Ă  60 fonctionnaires et militaires (30 gendarmes et 30 policiers, dont 4 femmes).

La direction du GSPR est alors Ă©galement conduite sous l’Ă©gide de la paritĂ©, par une alternance tous les deux ans entre un lieutenant-colonel de la gendarmerie nationale et un commissaire de la police nationale.

Ă€ compter du 16 mai 2007, date de l’investiture du prĂ©sident Nicolas Sarkozy, il est mis fin, de fait, Ă  la mixitĂ© police-gendarmerie au sein de l’unitĂ©. Les 30 gendarmes qui composaient le dĂ©tachement gendarmerie du GSPR quittent l’ÉlysĂ©e et sont remplacĂ©s par des policiers, sĂ©lectionnĂ©s au sein du Service de protection des hautes personnalitĂ©s (SPHP) ou du RAID3.

En septembre 2007, une partie des membres de l’ancien dĂ©tachement gendarmerie du GSPR intègre le nouveau GIGN en cours de crĂ©ation.

Paru au Journal officiel du 18 dĂ©cembre 2008, un dĂ©cret du 17 dĂ©cembre 20084 est venu abroger le dĂ©cret du 5 janvier 1983 portant crĂ©ation de l’unitĂ© tandis qu’un arrĂŞtĂ© du ministre de l’IntĂ©rieur du mĂŞme jour « relatif aux missions et Ă  l’organisation du service de protection des hautes personnalitĂ©s »5 a procĂ©dĂ© Ă  l’intĂ©gration du GSPR parmi les composantes de ce service.

Ă€ la suite de l’Ă©lection de François Hollande, les gendarmes font leur retour au sein de l’unitĂ© et, pour la première fois depuis sa crĂ©ation, une femme, la commissaire de police Sophie Hatt, prend le commandement du groupe6.

Lors du sommet de Rio en 2012, les membres du GSPR chargĂ©s de la protection du chef de l’État français ont oubliĂ© leur mallette d’armes de poing au palais de l’ÉlysĂ©e lors du voyage. D’autres incidents ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©s, comme le relate l’article du journal Le Monde datĂ© du 26 mai 2015.

Fiche technique

BRACELETS

Livrée avec 3 bracelets interchangeables : 1 bracelet en acier, un cuir bund, 1 tactique en toile noir.

MÉCANISME

Calibre : ETA 251.272 – FabriquĂ© en Suisse
Remontage: Quartz

BOITIER

MatĂ©riau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Minéral renforcé traité anti-reflets 2.5mm
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 6mm
Dimension : 42mm
Epaisseur : 13,5mm

AG2 COS

Ce garde temps robuste de forme tonneau inspirĂ© des 70’s, Ă©tanche Ă  200M a Ă©tĂ© créé pour les membres du COS. Les aiguilles et cadran sont traitĂ©s avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilitĂ© optimale en milieu aquatique ou de nuit.

CrĂ©e en 2007, cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e et n’est plus disponible Ă  la vente.

COS : COMMANDEMENT DES OPERATIONS SPECIALES

Le Commandement des opĂ©rations spĂ©ciales (COS), placĂ© sous les ordres du chef d’État-major des armĂ©es (CEMA) et sous l’autoritĂ© directe du prĂ©sident de la RĂ©publique française, rassemble l’ensemble des forces spĂ©ciales des diffĂ©rentes armĂ©es françaises sous une mĂŞme autoritĂ© opĂ©rationnelle, permanente et interarmĂ©es. La nĂ©cessitĂ© d’une telle fĂ©dĂ©ration est apparue après la participation française Ă  la première guerre du Golfe et l’observation des exemples amĂ©ricain (USSOCOM) et britannique (UKSF).

Le COS a Ă©tĂ© créé par l’arrĂŞtĂ© du 24 juin 1992, qui prĂ©cise ses missions :

« Planifier, coordonner et conduire les actions menĂ©es par les unitĂ©s spĂ©cialement organisĂ©es, entraĂ®nĂ©es et Ă©quipĂ©es pour atteindre des objectifs militaires ou paramilitaires dĂ©finis par le chef d’État-major des armĂ©es. »

L’Ă©tat-major du COS est situĂ© depuis 2006 sur la base aĂ©rienne 107 Ă  VĂ©lizy-Villacoublay, dans les Yvelines.

Contrairement Ă  l’USSOCOM amĂ©ricain, le COS ne possède pas d’unitĂ©s de guerre psychologique ou d’action civilo-militaire, ce en dĂ©pit des directives du CEMA en 1993, l’amiral Jacques Lanxade, qui l’avait autorisĂ© Ă  « dĂ©velopper des capacitĂ©s de guerre psychologique ».

Le COS reprĂ©sente dĂ©but 2014 un rĂ©servoir thĂ©orique de 3 196 personnes (dont 256 dans les Ă©tats-majors), auxquels s’ajoutent 400 rĂ©servistes. Son effectif rĂ©el Ă  cette date est de 3 019 personnes. La loi de programmation militaire 2014-2019 prĂ©voit de porter ce nombre Ă  3746 personnes. Son commandant (le GCOS) est depuis le mois d’aoĂ»t 2013, le gĂ©nĂ©ral GrĂ©goire de Saint-Quentin.

Le COS est un Ă©tat-major interarmĂ©es placĂ© sous l’autoritĂ© directe du chef d’État-major des armĂ©es (CEMA). Le COS est surtout un commandement opĂ©rationnel. Ă€ ce titre il n’a pas d’autoritĂ© organique directe sur les unitĂ©s qu’il emploie. NĂ©anmoins il assume certaines de ces fonctions, notamment en matière de politique d’Ă©quipement, de recherche et dĂ©veloppement, d’entrainement et de prĂ©paration opĂ©rationnelle.

Pour effectuer les missions qu’il lui assigne, le CEMA met Ă  la disposition du COS les moyens matĂ©riels ou humains adaptĂ©s provenant le cas Ă©chĂ©ant de n’importe quelle unitĂ© des Forces armĂ©es françaises. Le COS fait appel de manière ordinaire aux composantes spĂ©ciales des trois armĂ©es.

Fiche technique

BRACELETS

1 bracelet en acier, 1 cuir Bund, 1 tactique en toile noir.

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – Fabriqué en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S+Date

BOITIER

MatĂ©riau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova avec 12 index
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 2,5mm
Fond : Massif acier 316L, Renforcé,Vissé
Couronne : Vissée diamètre 6mm
Dimension : 42mm
Epaisseur : 13,5mm

AG3 GAO

Boitier ergonomique de forme tonneau inspirĂ© des 70’s Gamme classique version GAO Ă©tanche Ă  300M. Les aiguilles et cadran sont traitĂ©s avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilitĂ© optimale en milieu aquatique ou de nuit.

CrĂ©e en 2007, cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e et n’est plus disponible Ă  la vente.

GAO DE LA DGSI : DIRECTION DE LA SURVEILLANCE DU TERRITOIRE

La direction gĂ©nĂ©rale de la SĂ©curitĂ© intĂ©rieure (DGSI) est le service de renseignement du ministère de l’IntĂ©rieur français créé le 12 mai 2014 et chargĂ© sur l’ensemble du territoire, de rechercher, de centraliser et d’exploiter le renseignement intĂ©ressant la SĂ©curitĂ© nationale ou les intĂ©rĂŞts fondamentaux de la nation.

La DGSI s’est substituĂ©e Ă  la direction centrale du renseignement intĂ©rieur (DCRI), nĂ©e en 2008 de la fusion de la direction de la Surveillance du territoire (DST) et de la direction centrale des Renseignements gĂ©nĂ©raux (RG).

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec 1 bracelet en acier, 1 cuir Bund et 1 tactique en toile noir

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – FabriquĂ© en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S+Date

BOITIER

MatĂ©riau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec 12 index Super Luminova
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 2.5mm
Fond : Massif acier 316L, Renforcé,Vissé
Couronne : Vissée diamètre 6mm
Dimension : 42mm hors couronne
Epaisseur : 13.5mm

COMMANDOS MARINE

Le chronographe à quartz Commando Marine est un produit technique précis au 1/20e de seconde. Les aiguilles et le cadran sont traités au Super Luminova afin d’offrir une lisibilité maximale dans toutes conditions. Son étanchéité a été contrôlée à 200 mètres.

CrĂ©e en 2007, cette montre Ă  Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e et n’est plus disponible Ă  la vente.

COMMANDOS MARINE

Les commandos marine sont des unités de combat de la Marine nationale française.

Ils comprennent six unitĂ©s opĂ©rationnelles d’environ 90 hommes : le commando Jaubert, le commando de Montfort, le commando de Penfentenyo, le commando TrĂ©pel, le commando Hubert et le commando Kieffer, ainsi qu’une unitĂ© de soutien d’environ 160 hommes, le commando Ponchardier.

Ils font partie de la force maritime des fusiliers marins et commandos (FORFUSCO) et peuvent être employés indifféremment par la Marine nationale ou le commandement des opérations spéciales (COS).

Ils ont pour mission d’effectuer les opĂ©rations spĂ©ciales de la Marine (assaut Ă  la mer, appui et destruction Ă  distance, reconnaissance, action sous-marine) ainsi que certaines missions en appui des forces aĂ©ro-maritimes (opĂ©rations amphibies, guidage et appui feu, renfort des Ă©quipes de visite, contrĂ´le d’embargo) et d’action de l’État en mer (opĂ©rations de police en mer : pĂŞches, immigration clandestine, lutte contre le terrorisme maritime, la piraterie et contre les trafics illicites).

Regroupant l’ensemble des capacitĂ©s militaires des forces spĂ©ciales, (action offensive, reconnaissance, renseignement, appuis, mobilitĂ©) ils interviennent pour le Commandement des opĂ©rations spĂ©ciales en dehors du territoire national. Leurs actions dans ce cadre, discrètes voire secrètes, sont rarement portĂ©es Ă  la connaissance du public.

Ils ont Ă©tĂ© particulièrement actifs ces dernières annĂ©es en Afghanistan, dans l’ocĂ©an Indien, en Afrique et au Moyen-Orient.

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec un bracelet cuir, un bracelet en acier et un bracelet en toile tactique noir.

MÉCANISME

Calibre : OS60 série professionnelle précis au 1/20e s
Remontage: Quartz

BOITIER

MatĂ©riau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Minéral renforcé
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 6mm
Dimension : 42mm
Epaisseur : 13,5mm

CTLO COMMANDO JAUBERT

SĂ©rie rĂ©alisĂ©e pour le CTLO/COMMANDO JAUBERT. Cette montre, avec son boitier ergonomique de forme tonneau inspirĂ© des 70’s Gamme classique est Ă©tanche Ă  200M. Les aiguilles et cadran sont traitĂ©s avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilitĂ© optimale en milieu aquatique ou de nuit.

CrĂ©e en 2008, cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e et n’est plus disponible Ă  la vente.

COMMANDO JAUBERT-CTLO

Le commando Jaubert est un des sept commandos marine de la Marine Nationale française.

Il est l’hĂ©ritier direct de la compagnie Merlet, compagnie de reconnaissance constituĂ©e de marins volontaires en dĂ©cembre 1944 pour aller combattre les japonais. La Compagnie Merlet participera Ă  la campagne d’Italie avant de rejoindre Arcachon pour partir combattre en Indochine au sein de la Brigade Marine d’Extreme Orient Ă  compter d’octobre 1945. Elle prend le nom de Compagnie Jaubert en mĂ©moire du capitaine de frĂ©gate François Jaubert (officier Fusilier Marin blessĂ© mortellement le 25 janvier 1946 devant Tan Huyen, en Indochine française) puis elle deviendra le 1er janvier 1948 la première unitĂ© commando de la Marine Nationale sous le nom de commando Jaubert. Il est considĂ©rĂ© comme la matrice des commandos Marine.

Le commando Jaubert est un corps militaire. Son chef de corps est un officier supĂ©rieur. Il est sous le commandement organique de l’amiral commandant la FORFUSCO. Il fait partie des unitĂ©s employĂ©es par le Commandement des opĂ©rations spĂ©ciales depuis 1992.

BasĂ© Ă  Lorient, le commando est spĂ©cialisĂ© dans l’action spĂ©ciale offensive en milieu terrestre ou maritime, le contre terrorisme et la libĂ©ration d’otages.

Il comprend notamment un groupe CTLO (Contre-terrorisme et libération d’otages), comme le commando Trepel et le commando Hubert.

Titulaire de huit citations, dont trois par filiation, son fanion porte la croix de guerre 1939-1945 avec une Ă©toile de bronze, la croix de guerre des Théâtres d’opĂ©rations extĂ©rieurs avec six palmes et la croix de la valeur militaire avec une palme. Il porte Ă©galement les fourragères Ă  la couleur du ruban de la LĂ©gion d’honneur, aux couleurs du ruban de la MĂ©daille militaire et aux couleurs du ruban de la croix de guerre des Théâtres d’opĂ©rations extĂ©rieurs. C’est l’unitĂ© Ă©lĂ©mentaire (Ă©quivalent compagnie) la plus dĂ©corĂ©e de France.

Les six autres commandos Marine sont héritiers de ses traditions. Ils ont le droit au port de la fourragère à la couleur du ruban de la Légion d’honneur avec une olive aux couleurs du ruban de la médaille militaire-croix de guerre 1939-1945 et une olive aux couleurs du ruban de la croix de guerre TOE.

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec 1 bracelet cuir Bund et 1 tactique en toile.

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – FabriquĂ© en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S+Date

BOITIER

MatĂ©riau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index SL 12, 3, 6 et 9
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 2.5mm
Fond : Massif acier 316L, Renforcé,Vissé
Couronne : Vissée diam. 6mm
Dimension : 42mm hors couronne
Epaisseur : 13.5mm

AG3 ERIS

Cette montre est une sĂ©rie spĂ©ciale rĂ©alisĂ© pour les membres des Ă©quipes rĂ©gionales d’intervention et de sĂ©cuiritĂ© (ERIS). Son boitier ergonomique de forme tonneau inspirĂ© des 70’s, de gamme classique est Ă©tanche Ă  200M. Les aiguilles et cadran sont traitĂ©s avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilitĂ© optimale en milieu aquatique ou de nuit.

CrĂ©e en 2009, cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e et n’est plus disponible Ă  la vente.

ERIS : EQUIPES REGIONALES D’INTERVENTION ET DE SECURITE

Les Ă©quipes rĂ©gionales d’intervention et de sĂ©curitĂ© (ÉRIS) sont des unitĂ©s d’intervention chargĂ©es d’agir en cas de tension dans un Ă©tablissement pĂ©nitentiaire en France. Elles ont Ă©tĂ© créées sur dĂ©cision de Dominique Perben, alors ministre de la justice français, en fĂ©vrier 2003.

Les ÉRIS sont créées en 2003 après les mutineries successives dans les centrales de Moulins et de Clairvaux1. Ă€ la crĂ©ation des Ă©quipes le nombre de personnes est de 2102. En 2010, les ÉRIS sont formĂ©es d’environ 400 personnes issues de l’administration pĂ©nitentiaire française.

Le personnel des ÉRIS est formĂ© par le Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN). Ces dix Ă©quipes rĂ©gionales ont Ă©tĂ© spĂ©cialement formĂ©es et Ă©quipĂ©es pour agir en cas de tension dans un Ă©tablissement pĂ©nitentiaire (maintien et rĂ©tablissement de l’ordre en milieu carcĂ©ral, sĂ©curisation d’Ă©tablissements pĂ©nitentiaires…). Elles assurent Ă©galement la sĂ©curitĂ© lors des transferts de certains prĂ©venus et/ou de dĂ©tenus au profil sensible. Cependant ces Ă©quipes ne se substituent pas aux forces de l’ordre rĂ©publicain en cas de situation critique qui leur vaut le surnom de « GIGN de la pĂ©nitentiaire ».

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec 1 bracelet en acier, 1 cuir Bund et 1 tactique en toile

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – FabriquĂ© en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S+Date

BOITIER

Matériau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Superluminova
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 2.5mm
Fond : Massif acier 316L, Renforcé,Vissé
Couronne : Vissée diam. 6mm
Dimension : 42mm hors couronne
Epaisseur : 13.5mm

TIMER OPS GIGN

Le chronographe à quartz du GIGN est un produit technique précis au 1/20e de seconde.

Son cadran est orné du logo du GIGN. Les aiguilles et le cadran sont traités au Super Luminova afin d’offrir une lisibilité maximale dans toutes conditions. Ce garde temps a une étanchéité contrôlée à 200 mètres.

CrĂ©e en 2009, cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e et n’est plus disponible Ă  la vente.

GIGN : GROUPEMENT D’INTERVENTION DE LA GENDARMERIE NATIONALE

Créé au dĂ©but des annĂ©es 1970 comme une unitĂ© d’intervention, le GIGN, après avoir acquis un savoir-faire et une rĂ©putation incontestables dans son domaine, Ă©tait devenu dans les annĂ©es 1980 la composante « intervention » du Groupement de sĂ©curitĂ© et d’intervention de la gendarmerie nationale (GSIGN), formation qui regroupait Ă©galement d’autres unitĂ©s de gendarmerie spĂ©cialisĂ©es dans la sĂ©curitĂ©-protection, la collecte de renseignement et la formation. Le 1er septembre 2007, une profonde rĂ©organisation a lieu et un « nouveau » GIGN remplace le GSIGN3. Plus qu’un simple changement de nom, cette rĂ©organisation a pour but de renforcer l’homogĂ©nĂ©itĂ© de l’unitĂ©, d’optimiser l’utilisation de ses moyens, d’augmenter ses capacitĂ©s de rĂ©action en cas d’Ă©vĂ©nements d’envergure (notamment prises d’otages de masse, « POM » en abrĂ©gĂ©) et de crĂ©er des synergies plus fortes entre des personnels issus d’un tronc commun de recrutement et de formation.

UnitĂ© de rĂ©fĂ©rence de la Gendarmerie dans les domaines de l’« intervention spĂ©cialisĂ©e », de l’observation-recherche et de la sĂ©curitĂ©-protection, le GIGN en Ă©labore les doctrines avant d’en ĂŞtre le principal acteur. Son action est complĂ©tĂ©e ou relayĂ©e par diverses unitĂ©s rĂ©gionales, en mĂ©tropole comme outre-mer (principalement PI2G, PSPG et GPI). Le GIGN est très Ă©troitement impliquĂ© dans le recrutement, la formation, l’évaluation et le recyclage du personnel de ces unitĂ©s qui, sauf urgence absolue, interviennent sous son contrĂ´le opĂ©rationnel.

En rĂ©ponse Ă  la multiplication des prises d’otages au dĂ©but des annĂ©es 1970 (notamment Ă  la centrale de Clairvaux (10) en 1971 et lors des Jeux olympiques de Munich en 1972), un premier GIGN est formĂ© le 11 octobre 1973 au sein de l’escadron parachutiste de Mont-de-Marsan, tandis qu’une Ă©quipe commando rĂ©gionale d’intervention (ECRI) est formĂ©e le 1er dĂ©cembre de la mĂŞme annĂ©e au sein du groupe d’escadrons I/2 de gendarmerie mobile de Maisons-Alfort5. Le commandement de l’ECRI est confiĂ© au lieutenant Christian Prouteau et l’unitĂ© devient opĂ©rationnelle le 1er mars 1974 (qui deviendra la date d’anniversaire du GIGN). Sa première opĂ©ration a lieu dès le 10 mars 1974 pour neutraliser un forcenĂ© retranchĂ© dans son appartement avec deux otages Ă  Ecquevilly.

Le 16 avril 1974, le GIGN de Mont-de-Marsan devient le GIGN no 4 tandis que l’ECRI de Maisons-Alfort devient GIGN no 1. Ă€ cette Ă©poque, le GIGN n° 1 opère sur le territoire des 1re, 2e, 3e et 6e rĂ©gions militaires, tandis que le GIGN no 4 opère sur les 4e, 5e et 7e rĂ©gions militaires. UnitĂ© parachutiste, implantĂ©e sur la façade atlantique le GIGN est Ă©galement plus orientĂ© sur la problĂ©matique maritime et comporte un groupe de plongeurs, mais commandĂ© Ă  tour de rĂ´le par les officiers de l’escadron, ses membres restent assujettis aux prioritĂ©s de ce dernier et il est moins sollicitĂ© que l’unitĂ© de Maisons-Alfort.

En 1976, la Gendarmerie dĂ©cide de regrouper les deux unitĂ©s, principalement pour des raisons de coĂ»t et d’efficacitĂ©. Le 31 mai 1976, les deux GIGN 1 et 4 sont dissous et rassemblĂ©s le 1er juin de la mĂŞme annĂ©e en une seule unitĂ© basĂ©e Ă  Maisons-Alfort, dĂ©nommĂ©e GIGN, unitĂ© parachutiste qui, après son dĂ©mĂ©nagement Ă  Satory (Ă  Versailles) en 1982, est rejointe en 1984 au sein d’une nouvelle formation appelĂ©e Groupement de sĂ©curitĂ© et d’intervention de la Gendarmerie nationale (GSIGN) (créée elle-mĂŞme en 1983), d’abord par l’escadron parachutiste, qui devient Ă  cette occasion Escadron parachutiste d’intervention de la Gendarmerie nationale (EPIGN), puis en 1986, par le Groupe de sĂ©curitĂ© de la prĂ©sidence de la RĂ©publique (GSPR), formation créée en 1983

En 2007, le GSIGN est réorganisé et rebaptisé GIGN, les anciens GIGN, EPIGN et GSPR fournissant les principales composantes de la nouvelle organisation.

En 2015, le GIGN est engagĂ© simultanĂ©ment pour la première fois avec le RAID, unitĂ© d’Ă©lite de la Police nationale, lors de la double prise d’otages du 9 janvier faisant suite aux attentats de janvier 2015 en France.

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec un bracelet cuir, un bracelet acier et un bracelet en toile tactique noir.

MÉCANISME

Calibre : OS60 série professionnelle précis au 1/20e s

BOITIER

MatĂ©riau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Minéral renforcé
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 6mm
Dimension : 42mm
Epaisseur : 13,5mm

TIMER OPS SPHP

Le chronographe à quartz des SPHP est un produit robuste, technique et précis au 1/20e de seconde. Son cadran est orné du logo du GIGN. Les aiguilles et le cadran sont traités au Super Luminova afin d’offrir une lisibilité maximale dans toutes conditions. Ce chronographe a une étanchéité contrôlée à 200 mètres.

CrĂ©e en 2009, cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e et n’est plus disponible Ă  la vente.

SPHP : SERVICE DE LA PROTECTION

Le Service de la protection (SDLP) est un service de la Police nationale française chargĂ© de missions de protection rapprochĂ©e et d’accompagnement de sĂ©curitĂ© au profit des dirigeants ou ex-dirigeants de la RĂ©publique française, de ses hĂ´tes Ă©trangers ou bien encore de personnes spĂ©cialement menacĂ©es. Le Service met Ă©galement en Ĺ“uvre les mesures nĂ©cessaires Ă  l’organisation matĂ©rielle et Ă  la sĂ©curitĂ© des visites officielles en France et Ă  l’Ă©tranger. Il assure la surveillance et la protection des bâtiments et emprises de l’administration centrale du ministère de l’IntĂ©rieur.

Après l’assassinat du roi Alexandre Ier et de Louis Barthou, ministre français des Affaires Ă©trangères, nĂ© Ă  Oloron Sainte-Marie (PyrĂ©nĂ©es InfĂ©rieures), Ă  Marseille, en 1934, est créé le « service des voyages officiels et de la sĂ©curitĂ© des hautes personnalitĂ©s » (SVOSHP), abrĂ©gĂ© dans le langage policier en « Voyages Officiels » ou « VO ». Un dĂ©cret signĂ© par le prĂ©sident de la RĂ©publique Gaston Doumergue le 14 dĂ©cembre 1929 prĂ©voyait dĂ©jĂ  l’organisation de ce service. L’assassinat du roi accĂ©lère sa mise en place par une instruction interministĂ©rielle du 1er mars 1935.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, la protection du marĂ©chal Philippe PĂ©tain est assurĂ©e par la garde personnelle du chef de l’État qui comprend un peloton motocycliste, qui devient en 1944 la Section Motocycliste d’Escorte, service assurĂ©e en 1948, par la Compagnie rĂ©publicaine de sĂ©curitĂ© CRS n° 1, pour la sĂ©curitĂ© de Pierre Laval, est créé par RenĂ© Bousquet le GSP (Groupe SpĂ©cial de Protection) unitĂ© de 247 personnes dissoute en aoĂ»t 1944.

Après la Seconde Guerre mondiale, la sĂ©curitĂ© du GĂ©nĂ©ral de Gaulle sera notamment assurĂ©e par un groupe d’hommes dirigĂ© par l’Inspecteur gĂ©nĂ©ral honoraire de de la Police Nationale et PrĂ©sident du Club de Tir de Paris de la Police Nationale6 Raymond Sasia, premier policier français diplĂ´mĂ© de l’acadĂ©mie du FBI Ă  Quantico en Virginie aux États-Unis.

Aux termes d’un arrĂŞtĂ© du 19 octobre 1994 sous l’impulsion du ministre de l’IntĂ©rieur Charles Pasqua, le service prend l’appellation de « service de protection des hautes personnalitĂ©s » (SPHP)7.

En juin 2010, un rapport de la Cour des comptes mentionnait notamment, parmi les personnalitĂ©s bĂ©nĂ©ficiant d’une protection du SPHP, les anciens premiers ministres Dominique de Villepin et Jean-Pierre Raffarin, les anciens ministres de l’IntĂ©rieur Pierre Joxe, Jean-Pierre Chevènement et Charles Pasqua, les anciennes Ă©pouses de prĂ©sident Danielle Mitterrand et Bernadette Chirac, les anciens candidats Ă  l’Ă©lection prĂ©sidentielle de 2007 François Bayrou et SĂ©golène Royal, l’ancienne otage et parlementaire Ingrid Betancourt, l’ancien ministre Michel Charasse ou encore la prĂ©sidente du MEDEF Laurence Parisot8.

En 2013, dans le cadre de la rĂ©forme de l’administration centrale des ministères de l’IntĂ©rieur et des Outre-mer, le service prend le nom de « Service de la protection » (SDLP) et intègre dans son organigramme le « Service de sĂ©curitĂ© du ministère de l’IntĂ©rieur » (SSMI) et le « Service central automobile » (SCA).

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec un bracelet cuir, un bracelet acier et un bracelet en toiel tactique noir.

MÉCANISME

Calibre : OS60 série professionnelle précis au 1/20e s

BOITIER

MatĂ©riau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Minéral renforcé
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 6mm
Dimension : 42mm
Epaisseur : 13,5mm

AG6 2 C 3 ERIS

Instrument rĂ©alisĂ© pour les membres de l’ERIS robuste de par sa construction monobloc avec lunette tournante unidirectionnelle gravĂ©e, fonction heure, minute, seconde et une Ă©tanchĂ©itĂ© contrĂ´lĂ©e Ă  300 mètres. Les aiguilles et cadran sont traitĂ©s avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilitĂ© optimale en milieu aquatique ou de nuit.

CrĂ©e en 2014, cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e et n’est plus disponible Ă  la vente.

ERIS : EQUIPES REGIONALES D’INTERVENTION ET DE SECURITE

Les Ă©quipes rĂ©gionales d’intervention et de sĂ©curitĂ© (ÉRIS) sont des unitĂ©s d’intervention chargĂ©es d’agir en cas de tension dans un Ă©tablissement pĂ©nitentiaire en France. Elles ont Ă©tĂ© créées sur dĂ©cision de Dominique Perben, alors ministre de la justice français, en fĂ©vrier 2003.

Les ÉRIS sont créées en 2003 après les mutineries successives dans les centrales de Moulins et de Clairvaux1. Ă€ la crĂ©ation des Ă©quipes le nombre de personnes est de 2102. En 2010, les ÉRIS sont formĂ©es d’environ 400 personnes issues de l’administration pĂ©nitentiaire française.

Le personnel des ÉRIS est formĂ© par le Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN). Ces dix Ă©quipes rĂ©gionales ont Ă©tĂ© spĂ©cialement formĂ©es et Ă©quipĂ©es pour agir en cas de tension dans un Ă©tablissement pĂ©nitentiaire (maintien et rĂ©tablissement de l’ordre en milieu carcĂ©ral, sĂ©curisation d’Ă©tablissements pĂ©nitentiaires…). Elles assurent Ă©galement la sĂ©curitĂ© lors des transferts de certains prĂ©venus et/ou de dĂ©tenus au profil sensible. Cependant ces Ă©quipes ne se substituent pas aux forces de l’ordre rĂ©publicain en cas de situation critique qui leur vaut le surnom de « GIGN de la pĂ©nitentiaire ».

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec 3 bracelets interchangeables : un bracelet cuir, 1 caoutchouc et 1 tactique en toile.

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – FabriquĂ© en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S

BOITIER

MatĂ©riau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

TIMER ONE A.N.O.R.A.A

Le chronographe à quartz A.N.O.R.A.A est un produit technique précis au 1/20e de seconde.

Les aiguilles et le cadran sont traités au Super Luminova afin d’offrir une lisibilité maximale dans toutes conditions. Ce chronographe est étanche à 200 mètres.

CrĂ©e en 2009, cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e et n’est plus disponible Ă  la vente.

A.N.O.R.A.A : ASSOCIATION NATIONALE DES OFFICIERS DE RESERVE DE L’ARMEE DE L’AIR

L’association dĂ©nommĂ©e « ASSOCIATION NATIONALE DES OFFICIERS DE RESERVE DE L’ARMEE DE L’AIR » (A.N.O.R.A.A.), fondĂ©e en 1926 sans limitation de durĂ©e et rĂ©gie par la loi du 1er juillet 1901 et par les dĂ©crets d’application, a pour objet de :

Susciter, promouvoir et aider Ă  la rĂ©alisation de toutes actions ou mesures utiles permettant de dĂ©velopper, amĂ©liorer et, au besoin crĂ©er les divers aspects d’une politique favorable Ă  la DĂ©fense Nationale, en gĂ©nĂ©ral, et Ă  l’ArmĂ©e de l’Air, en particulier.

Pour atteindre ces buts, l’Association devra :

  1. Contribuer au dĂ©veloppement du rĂ´le social et humain de l’Officier de rĂ©serve de l’ArmĂ©e de l’Air, qui doit pouvoir servir d’intermĂ©diaire entre l’ArmĂ©e de l’Air et la Nation en facilitant, dans son environnement civil, la promotion de l’ArmĂ©e de l’Air, en y faisant connaĂ®tre ses besoins, ses aspirations et ses rĂ©alisations, et si nĂ©cessitĂ© s’en faisait sentir, en y dĂ©fendant son image de marque, en apportant son aide et son expĂ©rience au personnel de l’ArmĂ©e de l’Air en tout temps et en toutes circonstances, y compris lorsqu’il est rendu Ă  la vie civile.
  2. Assurer la dĂ©fense des intĂ©rĂŞts moraux et matĂ©riels des rĂ©serves de l’ArmĂ©e de l’Air auprès des AutoritĂ©s civiles ou militaires.
  3. Resserrer les liens qui doivent unir les Officiers de rĂ©serve appartenant aux diffĂ©rents corps de l’ArmĂ©e de l’Air, crĂ©er et maintenir entre eux entraide et solidaritĂ© ,
  4. ReprĂ©senter les Officiers de rĂ©serve de l’ArmĂ©e de l’Air auprès des Associations analogues d’Officiers de rĂ©serve des autres armĂ©es et des services communs, auprès des Associations contribuant Ă  la DĂ©fense Nationale et auprès des Associations aĂ©ronautiques en gĂ©nĂ©ral.
  5. Enfin, mener toutes actions privées, publiques ou collectives nécessaires pour atteindre ses buts.
Fiche technique

BRACELETS

Livré avec un bracelet cuir bund, un toile tactique noir et un bracelet acier.

MÉCANISME

Calibre : OS60 série professionnelle précis au 1/20e s
Remontage: Quartz

BOITIER

MatĂ©riau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Minéral renforcé
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 6mm
Dimension : 42mm
Epaisseur : 13,5mm

AG6 1 DEMINEUR

Montre rĂ©alisĂ©e pour les dĂ©mineurs de la sĂ©curitĂ© civile. C’est un instrument ultra robuste destinĂ© aux professionnels de par sa construction monobloc avec lunette tournante unidirectionnelle gravĂ©e, fonction heure, minute, seconde et une Ă©tanchĂ©itĂ© contrĂ´lĂ©e Ă  300 mètres. Les aiguilles et cadran sont traitĂ©s avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilitĂ© optimale en milieu aquatique ou de nuit.

DEMINEURS DE LA SECURITE CIVILE

Le dĂ©minage est un ensemble d’actions visant Ă  l’Ă©limination des mines terrestres ou navales d’une zone. Le dĂ©minage est la dĂ©tection de ces mines, puis leurs enlèvements. On distingue deux types de dĂ©minage, celui militaire et celui du dĂ©minage humanitaire. Au sens large et par extension, il s’agit de la recherche, neutralisation, enlèvement et stockage ou destruction des munitions, mines, pièges, engins et explosifs susceptibles de poser problèmes pour la sĂ©curitĂ© ou l’environnement. Dans le cadre de la reconstruction qui a suivi la Première Guerre mondiale, on parlait plutĂ´t de « dĂ©sobusage ».

Le service de déminage de la sécurité civile est dirigé depuis 2014 par le commissaire divisionnaire Christophe Bellini, chef du bureau du déminage.

Répartis dans vingt centres et une antenne, et quatre sites en métropole et outre-mer, les quelque 300 démineurs de la Sécurité civile (devise : « Réussir ou Périr ») ont trois missions principales :

La neutralisation et la destruction des munitions non explosées (encore régulièrement découvertes par les agriculteurs et forestiers ou entrepreneurs de travaux publics des anciens départements de la Zone rouge (zone la plus touchée par la première Guerre mondiale) ou des zones touchées par la seconde Guerre mondiale) ;

La détection, la neutralisation, l’enlèvement et la destruction des munitions et des explosifs ;

La sécurisation des voyages officiels et des grands rassemblements.

Ce travail peut se faire en collaboration avec l’armĂ©e (par exemple avec le Centre opĂ©rationnel interarmĂ©es pour la gestion des obus chimiques qui Ă©taient stockĂ©s Ă  Vimy dans de mauvaises conditions, et qui ont Ă©tĂ© dĂ©mĂ©nagĂ©s Ă  Suippes près des silos d’anciens missiles nuclĂ©aires Hades2. Dans ce cas, l’armĂ©e s’est chargĂ©e de la sĂ©curisation du dĂ©pĂ´t de Vimy, du transport et installation Ă  Suippes des obus, et d’une « phase de confirmation, de re-sĂ©curisation de l’ensemble du dĂ©pĂ´t de Suippes ».

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec 3 bracelets interchangeables : un bracelet cuir, 1 caoutchouc et 1 tactique en toile

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – FabriquĂ© en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S+Date

BOITIER

MatĂ©riau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec 12 index Super Luminova
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm hors protection
Epaisseur : 15,5mm

AG3 BSPP

Montre d’honneur du gĂ©nĂ©ral commandant de la brigade des sapeurs pompiers de Paris. Cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e. Son boitier ergonomique de forme tonneau inspirĂ© des 70’s de gamme classique est Ă©tanche Ă  200M.

Les aiguilles et cadran sont traités avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilité optimale en milieu aquatique ou de nuit.

CrĂ©e en 2011, cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e et n’est plus disponible Ă  la vente.

BSPP : BRIGADE DE SAPEURS-POMPIERS DE PARIS

La brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP), familièrement appelĂ©e La Brigade est une unitĂ© du gĂ©nie de l’armĂ©e de terre française, placĂ©e sous l’autoritĂ© du prĂ©fet de police et commandĂ©e par le gĂ©nĂ©ral de brigade Philippe Boutinaud (depuis le 1er aoĂ»t 2015)1. Elle est la troisième plus grande unitĂ© d’Ă©lite au monde concernant les pompiers.

Elle intervient pour l’agglomĂ©ration parisienne, dans Paris et dans ses trois dĂ©partements limitrophes (appelĂ© communĂ©ment : « petite couronne ») : Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne. Elle assure Ă©galement la protection de la base spatiale de Kourou, en Guyane française ainsi que la base Ă  Biscarrosse de la DGA Essais de missiles. La devise de la BSPP est « Sauver ou pĂ©rir ».

La BSPP comprenait 8 456 sapeurs-pompiers en 20122, dont un peu plus de 300 officiers, environ 1 500 sous-officiers, le reste Ă©tant composĂ© de militaires du rang, soit environ 114 pompiers pour 100 000 habitants. La moyenne nationale est de 382 pompiers pour 100 000 habitants, mais la zone couverte par la BSPP est très petite et permet donc des temps d’interventions courts avec un effectif rĂ©duit : on compte 9,2 pompiers par km2 dans la zone BSPP, contre 0,34 en moyenne en France. Avec 8 500 sapeurs-pompiers, en terme d’effectifs Paris se place derrière Tokyo (17 000) et New York (16 000) et devant Londres (7 000)[rĂ©f. nĂ©cessaire].

Le budget annuel de fonctionnement Ă©tait de 323,7 millions d’euros en 20122, dont 78,2 % de soldes (rĂ©munĂ©ration et Cotisations sociales), 10,5 % de matĂ©riel, 8,8 % d’investissement immobilier et 2,5 % de loyers et charges. Les contributeurs Ă  ce budget sont les dĂ©partements (29 %), la ville de Paris (26 %), le ministère de l’IntĂ©rieur (24 %) et les autres communes (21 %)[rĂ©f. nĂ©cessaire].

La BSPP est régie actuellement par les articles R.3222-13 à R.3222-18 du code de la défense.

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec 1 bracelet en acier, 1 cuir Bund et 1 tactique en toile.

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – FabriquĂ© en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S+Date

BOITIER

MatĂ©riau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index SL 12, 3, 6 et 9
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 2.5mm
Fond : Massif acier 316L, Renforcé,Vissé
Couronne : Vissée diam. 6mm
Dimension : 42mm hors couronne
Epaisseur : 13.5mm

AG6 2 C3 GIPN

Instrument rĂ©alisĂ© en partenariat avec les membres du GIPN Ă  l’occasion du 40ème anniversaire du groupement d’intervention. Les aiguilles et le cadran sont traitĂ©s avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilitĂ© optimale en milieu aquatique ou de nuit mais le boitier en PVD noir assure un maximum de discrĂ©tion lors des opĂ©rations.

CrĂ©e en 2012, cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e et n’es plus disponible Ă  la vente.

GIPN : GROUPE D’INTERVENTION DE LA POLICE NATIONALE

Les groupes d’intervention de la Police nationale (GIPN) sont des unitĂ©s d’élite de la Police nationale française, implantĂ©es dans des collectivitĂ©s d’outre-mer. Les GIPN, au nombre de trois en 2015, sont destinĂ©s Ă  intervenir dans des situations d’extrĂŞme violence ou Ă  haut risques telles que les prises d’otages, les actes de terrorisme, les mutineries dans les prisons ou les interpellations d’individus dangereux ou de forcenĂ©s.

Composés de fonctionnaires de police recrutés selon des critères très sélectifs, dotés de matériels performants et soumis à un entraînement constant et rigoureux, les GIPN peuvent se définir comme des groupes de policiers au service d’autres policiers.

Avant le mois d’avril 2015, l’appellation de GIPN Ă©tait Ă©galement portĂ©e par les sept unitĂ©s implantĂ©es en mĂ©tropole (Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg). Depuis cette date, ces sept groupes ont Ă©tĂ© directement intĂ©grĂ©s au sein du RAID et en sont devenus ses antennes territoriales.

Les premiers GIPN, alors au nombre de onze, ont été mis en place le 27 octobre 1972, soit un an et demi avant le GIGN et treize ans avant le RAID.

La crĂ©ation des GIPN a Ă©tĂ© motivĂ©e par l’assassinat, en 1972, des athlètes israĂ©liens pris en otages lors des Jeux olympiques de Munich. Le gouvernement français a souhaitĂ© se doter d’Ă©quipes de police capables d’intervenir dans des situations graves comme les prises d’otages, les attentats terroristes, les Ă©meutes. Pour cela, il charge le commissaire divisionnaire Georges Nguyen Van Loc de crĂ©er le premier groupe Ă  Marseille.

Le territoire mĂ©tropolitain est alors dĂ©coupĂ© en zones de compĂ©tence pour chaque groupe d’intervention. En 1985, le nombre de GIPN est de sept. Les groupes mĂ©tropolitains sont localisĂ©s dans les villes suivantes : Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg. Puis, en 1992 et 1993, sont créés les GIPN de La RĂ©union et de la Nouvelle-CalĂ©donie, ce qui porte le nombre de GIPN Ă  neuf. Un dixième groupe est créé en 2007, afin de couvrir la zone Antilles-Guyane.

Ă€ compter du mois d’avril 2015, les sept GIPN mĂ©tropolitains, situĂ©s dans les villes de Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg, sont officiellement incorporĂ©s au sein du RAID et en deviennent ses antennes territoriales1.

Ă€ l’issue de cette rĂ©forme, seuls les trois GIPN ultra-marins conservent ainsi la dĂ©nomination d’origine.

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec 3 bracelets interchangeables : un bracelet cuir, 1 caoutchouc et 1 tactique en toile.

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – FabriquĂ© en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S

BOITIER

MatĂ©riau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

A.N.O.R.A.A CHRONOGRAPHE

Montre rĂ©alisĂ©e en Ă©dition limitĂ©e pour les officiers de reserve de l’armĂ©e de l’air (A.N.O.R.A.A). Les aiguilles et cadran sont traitĂ©s avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilitĂ© optimale en milieu aquatique ou de nuit.

CrĂ©e en 2012, cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e et n’est plus disponible Ă  la vente.

A.N.O.R.A.A : ASSOCIATION NATIONALE DES OFFICIERS DE RESERVE DE L’ARMEE DE L’AIR

L’association dĂ©nommĂ©e « ASSOCIATION NATIONALE DES OFFICIERS DE RESERVE DE L’ARMEE DE L’AIR » (A.N.O.R.A.A.), fondĂ©e en 1926 sans limitation de durĂ©e et rĂ©gie par la loi du 1er juillet 1901 et par les dĂ©crets d’application, a pour objet de :

Susciter, promouvoir et aider Ă  la rĂ©alisation de toutes actions ou mesures utiles permettant de dĂ©velopper, amĂ©liorer et, au besoin crĂ©er les divers aspects d’une politique favorable Ă  la DĂ©fense Nationale, en gĂ©nĂ©ral, et Ă  l’ArmĂ©e de l’Air, en particulier.

Pour atteindre ces buts, l’Association devra :

  1. Contribuer au dĂ©veloppement du rĂ´le social et humain de l’Officier de rĂ©serve de l’ArmĂ©e de l’Air, qui doit pouvoir servir d’intermĂ©diaire entre l’ArmĂ©e de l’Air et la Nation en facilitant, dans son environnement civil, la promotion de l’ArmĂ©e de l’Air, en y faisant connaĂ®tre ses besoins, ses aspirations et ses rĂ©alisations, et si nĂ©cessitĂ© s’en faisait sentir, en y dĂ©fendant son image de marque, en apportant son aide et son expĂ©rience au personnel de l’ArmĂ©e de l’Air en tout temps et en toutes circonstances, y compris lorsqu’il est rendu Ă  la vie civile.
  2. Assurer la dĂ©fense des intĂ©rĂŞts moraux et matĂ©riels des rĂ©serves de l’ArmĂ©e de l’Air auprès des AutoritĂ©s civiles ou militaires.
  3. Resserrer les liens qui doivent unir les Officiers de rĂ©serve appartenant aux diffĂ©rents corps de l’ArmĂ©e de l’Air, crĂ©er et maintenir entre eux entraide et solidaritĂ© ,
  4. ReprĂ©senter les Officiers de rĂ©serve de l’ArmĂ©e de l’Air auprès des Associations analogues d’Officiers de rĂ©serve des autres armĂ©es et des services communs, auprès des Associations contribuant Ă  la DĂ©fense Nationale et auprès des Associations aĂ©ronautiques en gĂ©nĂ©ral.
  5. Enfin, mener toutes actions privées, publiques ou collectives nécessaires pour atteindre ses buts.
Fiche technique

BRACELETS

Livrée avec 3 bracelets interchangeables : 1 cuir noir, 1 toile tactique noir et 1 caoutchouc noir.

MÉCANISME

Calibre : Chronographe Ronda 5021.D – Fabriqué en Suisse
Remontage : Quartz

BOITIER

Matériau : Acier 316L PVD noir
Cadran : index et aiguilles en Super Luminova
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L PVD noir
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

SPHP CHRONOGRAPHE

Montre réalisée en série limitée pour les membres des SPHP. Les aiguilles et cadran sont traités avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilité optimale en milieu aquatique ou de nuit.

CrĂ©e en 2012, cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e et n’est plus disponible Ă  la vente.

SPHP : SERVICE DE LA PROTECTION

Le Service de la protection (SDLP) est un service de la Police nationale française chargĂ© de missions de protection rapprochĂ©e et d’accompagnement de sĂ©curitĂ© au profit des dirigeants ou ex-dirigeants de la RĂ©publique française, de ses hĂ´tes Ă©trangers ou bien encore de personnes spĂ©cialement menacĂ©es. Le Service met Ă©galement en Ĺ“uvre les mesures nĂ©cessaires Ă  l’organisation matĂ©rielle et Ă  la sĂ©curitĂ© des visites officielles en France et Ă  l’Ă©tranger. Il assure la surveillance et la protection des bâtiments et emprises de l’administration centrale du ministère de l’IntĂ©rieur.

Après l’assassinat du roi Alexandre Ier et de Louis Barthou, ministre français des Affaires Ă©trangères, nĂ© Ă  Oloron Sainte-Marie (PyrĂ©nĂ©es InfĂ©rieures), Ă  Marseille, en 1934, est créé le « service des voyages officiels et de la sĂ©curitĂ© des hautes personnalitĂ©s » (SVOSHP), abrĂ©gĂ© dans le langage policier en « Voyages Officiels » ou « VO ». Un dĂ©cret signĂ© par le prĂ©sident de la RĂ©publique Gaston Doumergue le 14 dĂ©cembre 1929 prĂ©voyait dĂ©jĂ  l’organisation de ce service. L’assassinat du roi accĂ©lère sa mise en place par une instruction interministĂ©rielle du 1er mars 1935.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, la protection du marĂ©chal Philippe PĂ©tain est assurĂ©e par la garde personnelle du chef de l’État qui comprend un peloton motocycliste, qui devient en 1944 la Section Motocycliste d’Escorte, service assurĂ©e en 1948, par la Compagnie rĂ©publicaine de sĂ©curitĂ© CRS n° 1, pour la sĂ©curitĂ© de Pierre Laval, est créé par RenĂ© Bousquet le GSP (Groupe SpĂ©cial de Protection) unitĂ© de 247 personnes dissoute en aoĂ»t 1944.

Après la Seconde Guerre mondiale, la sĂ©curitĂ© du GĂ©nĂ©ral de Gaulle sera notamment assurĂ©e par un groupe d’hommes dirigĂ© par l’Inspecteur gĂ©nĂ©ral honoraire de de la Police Nationale et PrĂ©sident du Club de Tir de Paris de la Police Nationale6 Raymond Sasia, premier policier français diplĂ´mĂ© de l’acadĂ©mie du FBI Ă  Quantico en Virginie aux États-Unis.

Aux termes d’un arrĂŞtĂ© du 19 octobre 1994 sous l’impulsion du ministre de l’IntĂ©rieur Charles Pasqua, le service prend l’appellation de « service de protection des hautes personnalitĂ©s » (SPHP)7.

En juin 2010, un rapport de la Cour des comptes mentionnait notamment, parmi les personnalitĂ©s bĂ©nĂ©ficiant d’une protection du SPHP, les anciens premiers ministres Dominique de Villepin et Jean-Pierre Raffarin, les anciens ministres de l’IntĂ©rieur Pierre Joxe, Jean-Pierre Chevènement et Charles Pasqua, les anciennes Ă©pouses de prĂ©sident Danielle Mitterrand et Bernadette Chirac, les anciens candidats Ă  l’Ă©lection prĂ©sidentielle de 2007 François Bayrou et SĂ©golène Royal, l’ancienne otage et parlementaire Ingrid Betancourt, l’ancien ministre Michel Charasse ou encore la prĂ©sidente du MEDEF Laurence Parisot8.

En 2013, dans le cadre de la rĂ©forme de l’administration centrale des ministères de l’IntĂ©rieur et des Outre-mer, le service prend le nom de « Service de la protection » (SDLP) et intègre dans son organigramme le « Service de sĂ©curitĂ© du ministère de l’IntĂ©rieur » (SSMI) et le « Service central automobile » (SCA).

Fiche technique

BRACELETS

Livrée avec 3 bracelets interchangeables : 1 cuir noir, 1 toile tactique noir et 1 caoutchouc noir.

MÉCANISME

Calibre : Chronographe Ronda 5021.D – Fabriqué en Suisse
Remontage : Quartz

BOITIER

Matériau : Acier 316L PVD noir
Cadran : index et aiguilles en Super Luminova
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L PVD noir
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

AG6 2 C3 RAID

Instrument réalisé en partenariat avec les membres du RAID. Les aiguilles et le cadran sont traités avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilité optimale en milieu aquatique ou de nuit mais le boitier en PVD noir assure un maximum de discrétion lors des opérations.

CrĂ©e en 2013, cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e et n’est plus disponible Ă  la vente.

RAID : RECHERCHE, ASSISTANCE, INTERVENTION, DISSUASION

Le RAID est une unitĂ© d’Ă©lite de la Police nationale française. Le nom est choisi en rĂ©fĂ©rence au mot « raid », dĂ©signant un assaut militaire, mais a reçu par rĂ©tro acronymie le sens Recherche, Assistance, Intervention, Dissuasion.

FondĂ©e en 1985, par Robert Broussard et Ange Mancini notamment, l’unitĂ© participe sur l’ensemble du territoire national Ă  la lutte contre toutes les formes de criminalitĂ© et de grand banditisme.

PlacĂ© sous l’autoritĂ© directe du directeur gĂ©nĂ©ral de la Police nationale, le RAID est appelĂ© Ă  intervenir Ă  l’occasion d’Ă©vĂ©nements graves, nĂ©cessitant l’utilisation de techniques et de moyens spĂ©cifiques pour neutraliser les individus dangereux, par la nĂ©gociation ou l’intervention.

Son rĂ´le est notamment d’agir dans les situations de crise, du type prise d’otages, retranchement de forcenĂ©s ou arrestation de malfaiteurs Ă  haut risque (grand banditisme), mais aussi de contribuer Ă  la lutte antiterroriste en apportant son concours Ă  l’UnitĂ© de coordination de la lutte anti-terroriste (UCLAT) et aux autres services spĂ©cialisĂ©s, afin de mener des opĂ©rations de filature, d’observation, de renseignement et d’arrestations d’individus ou de groupes susceptibles de se livrer Ă  des actions terroristes sur le territoire français.

Le service est basĂ© Ă  Bièvres, sur le domaine de Bel-Air, dans le dĂ©partement de l’Essonne, siège de l’unitĂ© centrale, et dispose, en outre, de sept antennes, rĂ©parties sur le territoire mĂ©tropolitain, Ă  Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg. Sa devise est : « Servir sans faillir ».

Le RAID fait partie de la force d’intervention de la police nationale. PlacĂ©e sous l’autoritĂ© du directeur gĂ©nĂ©ral de la police nationale, l’unitĂ© est dirigĂ©e par un fonctionnaire du corps de conception et de direction de la police nationale.

Le RAID ne peut être déplacé ou employé que sur ordre du directeur général de la police nationale. Il n’intervient que sous le commandement de sa hiérarchie. Il n’a pas compétence pour la suite judiciaire des faits sur lesquels il est intervenu. Il peut être mis à la disposition des préfets et des procureurs de la République qui en font la demande. Dans ce cas, l’autorité requérante définit la mission générale assignée à ce service. Le chef de l’unité chargé de l’exécution de la mission demeure seul responsable des conditions et des modalités techniques de son exécution. Les chefs des services territoriaux de police lui apportent leur concours4.

Ă€ compter du mois d’avril 2015, les sept GIPN mĂ©tropolitains, situĂ©s dans les villes de Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg, sont officiellement incorporĂ©s au sein du RAID et en deviennent ses antennes territoriales5,6.

Ă€ l’issue de cette rĂ©forme, seuls les trois GIPN ultra-marins conservent ainsi leur dĂ©nomination d’origine.

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec 3 bracelets interchangeables : un bracelet cuir, 1 caoutchouc et 1 tactique en toile

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – FabriquĂ© en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S

BOITIER

MatĂ©riau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

AG6 3 LEGION ETRANGERE

Le design épuré et la robustesse de son boîtier en acier brossé incarnent intemporalité et efficacité. Son verre saphir inrayable et son mécanisme automatique de qualité garantissent la longévité de ses fonctionnalités.
Cette montre Légion étrangère se distingue des montres militaires courantes par son caractère unique hors du temps et des modes, ainsi que par ses marquages spécifiques Légion étrangère aux couleurs officielles vert et rouge.

CrĂ©e en 2013, cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e de 150 pièces et n’est plus disponible Ă  la vente.

LEGION ETRANGERE

La LĂ©gion Ă©trangère est un corps de l’armĂ©e de terre française disposant d’un commandement particulier. La lĂ©gion est Ă©galement indĂ©pendante du point de vue de son recrutement.

FormĂ©e en 1831 pour permettre l’incorporation de soldats Ă©trangers dans l’armĂ©e française, une partie de ses unitĂ©s a fait partie, jusqu’en 1962, fin de la pĂ©riode coloniale, du 19e corps d’armĂ©e, noyau de l’ArmĂ©e d’Afrique.

L’engagement Ă  la LĂ©gion est rĂ©servĂ© aux hommes dont l’âge est compris entre 17 ans et 40 ans (dĂ©rogation possible) et a comptĂ© depuis sa crĂ©ation et jusqu’en 1963 plus de 600 000 soldats dont une majoritĂ© d’Allemands, suivi de 3 fois et demie moins d’Italiens, puis de Belges, mais aussi de Français, d’Espagnols et de Suisses. De nombreuses autres nationalitĂ©s sont reprĂ©sentĂ©es, comme les pays d’Europe de l’Est et les Balkans, majoritaires dans les annĂ©es 2000. Ce corps d’armĂ©e reste, pour la majoritĂ©, un moyen d’immigration privilĂ©giĂ© afin de changer de vie, d’oublier son passĂ©, de se faire oublier, ou tout simplement de trouver une vie meilleure. Pour quelques autres, le prestige de la LĂ©gion et l’amour du pays demeurent la cause de leur volontariat. Les motifs de l’engagement ainsi que le recrutement restent encore aujourd’hui un sujet plus ou moins tabou, mĂŞme si le sujet est souvent abordĂ© au sein de la LĂ©gion lors du processus de recrutement.

Les lĂ©gionnaires, aussi appelĂ©s les KĂ©pis blancs, ont acquis leur notoriĂ©tĂ© lors des combats menĂ©s sur les champs de bataille du monde entier, notamment dans le cadre des conquĂŞtes coloniales, des deux guerres mondiales, et les guerres d’Indochine et d’AlgĂ©rie. Aujourd’hui, les lĂ©gionnaires sont prĂ©sents lors des conflits modernes pour des missions d’aide humanitaire, de protection des populations, de maintien de la paix ou parfois de soutien Ă  des gouvernements Ă©trangers, alliĂ©s Ă  la France par des accords, dans les crises de leur pays.

Les traditions Ă  la LĂ©gion Ă©trangère constituent un ciment pour ce corps qui se traduit Ă  travers les dĂ©tails vestimentaires, les emblèmes et symboles spĂ©cifiques, les chants et musiques, et enfin par ses fĂŞtes particulières. L’image qu’elle vĂ©hicule sur le public et les artistes est Ă  l’origine de nombreuses Ĺ“uvres dans tous les domaines : musique, cinĂ©ma, peinture, sculpture et littĂ©rature. Le code d’honneur du lĂ©gionnaire dicte la conduite de ces hommes au quotidien, en temps de guerre comme en temps de paix.

Principalement constituĂ©e de rĂ©giments d’infanterie Ă  ses dĂ©buts, la LĂ©gion Ă©trangère comporte maintenant Ă©galement des unitĂ©s d’arme blindĂ©e et cavalerie, de parachutistes, de gĂ©nie, oĂą sont intĂ©grĂ©s des spĂ©cialistes du combat en montagne, de jungle, en milieu dĂ©sertique de reconnaissance ou encore de renseignement.

Le récit de CAMERONE – 30 Avril 1863

« L’armée française assiégeait Puebla. La Légion avait pour mission d’assurer, sur cent vingt kilomètres, la circulation et la sécurité des convois. Le colonel Jeanningros, qui commandait, apprend, le 29 avril 1863, qu’un gros convoi emportant trois millions en numéraire, du matériel de siège et des munitions était en route pour Puebla. Le capitaine Danjou, son adjudant-major, le décide à envoyer au-devant du convoi, une compagnie. La 3e compagnie du Régiment étranger fut désignée mais elle n’avait pas d’officier disponible. Le capitaine Danjou en prend lui-même le commandement et les sous-lieutenants Maudet, porte-drapeau, et Vilain, payeur, se joignent à lui volontairement.

Le 30 avril, à 1 heure du matin, la 3e compagnie, forte de trois officiers et soixante deux hommes, se met en route. Elle avait parcouru environ vingt kilomètres, quand, à 7 heures du matin, elle s’arrête à Palo Verde pour faire le café. À ce moment, l’ennemi se dévoile et le combat s’engage aussitôt. Le capitaine Danjou fait former le carré et, tout en battant en retraite, repousse victorieusement plusieurs charges de cavalerie, en infligeant à l’ennemi des premières pertes sévères.

Arrivé à la hauteur de l’auberge de Camerone, vaste bâtisse comportant une cour entourée d’un mur de trois mètres de haut, il décide de s’y retrancher, pour fixer l’ennemi, et retarder ainsi le plus possible le moment où celui-ci pourra attaquer le convoi.

Pendant que les hommes organisent à la hâte la défense de cette auberge, un officier mexicain, faisant valoir la grosse supériorite du nombre, somme le capitaine Danjou de se rendre. Celui-ci fait répondre : « Nous avons des cartouches et ne nous rendrons pas ». Puis, levant la main, il jura de se défendre jusqu’à la mort et fit prêter à ses hommes le même serment. Il était 10 heures. Jusqu’à 6 heures du soir, ces soixante hommes, qui n’avaient pas mangé ni bu depuis la veille, malgré l’extrême chaleur, la faim, la soif, résistent à 2 000 Mexicains : huit cents cavaliers, mille deux cents fantassins.

À midi, le capitaine Danjou est tué d’une balle en pleine poitrine. À 2 heures, le sous-lieutenant Vilain tombe, frappé d’une balle au front. À ce moment, le colonel mexicain réussit à mettre le feu à l’auberge.

Malgré la chaleur et la fumée qui viennent augmenter leurs souffrances, les légionnaires tiennent bon, mais beaucoup d’entre eux sont frappés. À 5 heures, autour du sous-lieutenant Maudet, ne restent que douze hommes en état de combattre. À ce moment, le colonel mexicain rassemble ses hommes et leur dit de quelle honte ils vont se couvrir s’ils n’arrivent pas à abattre cette poignée de braves (un légionnaire qui comprend l’espagnol traduit au fur et à mesure ses paroles). Les Mexicains vont donner l’assaut général par les brèches qu’ils ont réussi à ouvrir, mais auparavant, le colonel Milan adresse encore une sommation au sous-lieutenant Maudet ; celui-ci la repousse avec mépris.

L’assaut final est donné. Bientôt il ne reste autour de Maudet que cinq hommes : le caporal Maine, les légionnaires Catteau, Wensel, Constantin, Leonhard. Chacun garde encore une cartouche ; ils ont la baïonnette au canon et, réfugiés dans un coin de la cour, le dos au mur, ils font face. À un signal, ils déchargent leurs fusils à bout portant sur l’ennemi et se précipitent sur lui à la baïonnette. Le sous-lieutenant Maudet et deux légionnaires tombent, frappés à mort. Maine et ses deux camarades vont être massacrés quand un officier mexicain se précipite sur eux et les sauve. Il leur crie : « Rendez-vous ! »

« Nous nous rendrons si vous nous promettez de relever et de soigner nos blessés et si vous nous laissez nos armes ». Leurs baïonnettes restent menaçantes.

« On ne refuse rien à des hommes comme vous ! », répond l’officier.

Les soixante hommes du capitaine Danjou ont tenu jusqu’au bout leur serment. Pendant 11 heures, ils ont résisté à deux mille ennemis, en ont tué trois cents et blessé autant. Ils ont par leur sacrifice, en sauvant le convoi, rempli la mission qui leur avait été confiée.

L’empereur Napoléon III décida que le nom de Camerone serait inscrit sur le drapeau du Régiment étranger et que, de plus, les noms de Danjou, Vilain et Maudet seraient gravés en lettres d’or sur les murs des Invalides à Paris.

En outre, un monument fut élevé en 1892 sur l’emplacement du combat. Il porte l’inscription :

« Ils furent ici moins de soixante opposés à toute une armée, sa masse les écrasa. La vie plutôt que le courage abandonna ces soldats Français le 30 avril 1863. A leur mémoire, la patrie éleva ce monument »

Depuis, lorsque les troupes mexicaines passent devant le monument, elles présentent les armes. »

Fiche technique

BRACELETS

Son bracelet est taillé dans le même cuir que les  tabliers de Pionniers de la Légion étrangère.
Livré aussi avec un bracelet tactique en toile.

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – FabriquĂ© en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S

BOITIER

Matériau : Boîte acier 316L
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

TIMER OPS LEGION ETRANGERE

Le chronographe à quartz Légion étrangère est un produit technique précis au 1/20e de seconde.

Son cadran est orné des marquages de la Légion étrangère. Les aiguilles et le cadran sont traités au Super Luminova afin d’offrir une lisibilité maximale dans toutes conditions. Le chronographe de la Légion a une étanchéité contrôlée à 200 mètres.

LEGION ETRANGERE

La LĂ©gion Ă©trangère est un corps de l’armĂ©e de terre française disposant d’un commandement particulier. La lĂ©gion est Ă©galement indĂ©pendante du point de vue de son recrutement.

FormĂ©e en 1831 pour permettre l’incorporation de soldats Ă©trangers dans l’armĂ©e française, une partie de ses unitĂ©s a fait partie, jusqu’en 1962, fin de la pĂ©riode coloniale, du 19e corps d’armĂ©e, noyau de l’ArmĂ©e d’Afrique.

L’engagement Ă  la LĂ©gion est rĂ©servĂ© aux hommes dont l’âge est compris entre 17 ans et 40 ans (dĂ©rogation possible) et a comptĂ© depuis sa crĂ©ation et jusqu’en 1963 plus de 600 000 soldats dont une majoritĂ© d’Allemands, suivi de 3 fois et demie moins d’Italiens, puis de Belges, mais aussi de Français, d’Espagnols et de Suisses. De nombreuses autres nationalitĂ©s sont reprĂ©sentĂ©es, comme les pays d’Europe de l’Est et les Balkans, majoritaires dans les annĂ©es 2000. Ce corps d’armĂ©e reste, pour la majoritĂ©, un moyen d’immigration privilĂ©giĂ© afin de changer de vie, d’oublier son passĂ©, de se faire oublier, ou tout simplement de trouver une vie meilleure. Pour quelques autres, le prestige de la LĂ©gion et l’amour du pays demeurent la cause de leur volontariat. Les motifs de l’engagement ainsi que le recrutement restent encore aujourd’hui un sujet plus ou moins tabou, mĂŞme si le sujet est souvent abordĂ© au sein de la LĂ©gion lors du processus de recrutement.

Les lĂ©gionnaires, aussi appelĂ©s les KĂ©pis blancs, ont acquis leur notoriĂ©tĂ© lors des combats menĂ©s sur les champs de bataille du monde entier, notamment dans le cadre des conquĂŞtes coloniales, des deux guerres mondiales, et les guerres d’Indochine et d’AlgĂ©rie. Aujourd’hui, les lĂ©gionnaires sont prĂ©sents lors des conflits modernes pour des missions d’aide humanitaire, de protection des populations, de maintien de la paix ou parfois de soutien Ă  des gouvernements Ă©trangers, alliĂ©s Ă  la France par des accords, dans les crises de leur pays.

Les traditions Ă  la LĂ©gion Ă©trangère constituent un ciment pour ce corps qui se traduit Ă  travers les dĂ©tails vestimentaires, les emblèmes et symboles spĂ©cifiques, les chants et musiques, et enfin par ses fĂŞtes particulières. L’image qu’elle vĂ©hicule sur le public et les artistes est Ă  l’origine de nombreuses Ĺ“uvres dans tous les domaines : musique, cinĂ©ma, peinture, sculpture et littĂ©rature. Le code d’honneur du lĂ©gionnaire dicte la conduite de ces hommes au quotidien, en temps de guerre comme en temps de paix.

Principalement constituĂ©e de rĂ©giments d’infanterie Ă  ses dĂ©buts, la LĂ©gion Ă©trangère comporte maintenant Ă©galement des unitĂ©s d’arme blindĂ©e et cavalerie, de parachutistes, de gĂ©nie, oĂą sont intĂ©grĂ©s des spĂ©cialistes du combat en montagne, de jungle, en milieu dĂ©sertique de reconnaissance ou encore de renseignement.

Le récit de CAMERONE – 30 Avril 1863

« L’armée française assiégeait Puebla. La Légion avait pour mission d’assurer, sur cent vingt kilomètres, la circulation et la sécurité des convois. Le colonel Jeanningros, qui commandait, apprend, le 29 avril 1863, qu’un gros convoi emportant trois millions en numéraire, du matériel de siège et des munitions était en route pour Puebla. Le capitaine Danjou, son adjudant-major, le décide à envoyer au-devant du convoi, une compagnie. La 3e compagnie du Régiment étranger fut désignée mais elle n’avait pas d’officier disponible. Le capitaine Danjou en prend lui-même le commandement et les sous-lieutenants Maudet, porte-drapeau, et Vilain, payeur, se joignent à lui volontairement.

Le 30 avril, à 1 heure du matin, la 3e compagnie, forte de trois officiers et soixante deux hommes, se met en route. Elle avait parcouru environ vingt kilomètres, quand, à 7 heures du matin, elle s’arrête à Palo Verde pour faire le café. À ce moment, l’ennemi se dévoile et le combat s’engage aussitôt. Le capitaine Danjou fait former le carré et, tout en battant en retraite, repousse victorieusement plusieurs charges de cavalerie, en infligeant à l’ennemi des premières pertes sévères.

Arrivé à la hauteur de l’auberge de Camerone, vaste bâtisse comportant une cour entourée d’un mur de trois mètres de haut, il décide de s’y retrancher, pour fixer l’ennemi, et retarder ainsi le plus possible le moment où celui-ci pourra attaquer le convoi.

Pendant que les hommes organisent à la hâte la défense de cette auberge, un officier mexicain, faisant valoir la grosse supériorite du nombre, somme le capitaine Danjou de se rendre. Celui-ci fait répondre : « Nous avons des cartouches et ne nous rendrons pas ». Puis, levant la main, il jura de se défendre jusqu’à la mort et fit prêter à ses hommes le même serment. Il était 10 heures. Jusqu’à 6 heures du soir, ces soixante hommes, qui n’avaient pas mangé ni bu depuis la veille, malgré l’extrême chaleur, la faim, la soif, résistent à 2 000 Mexicains : huit cents cavaliers, mille deux cents fantassins.

À midi, le capitaine Danjou est tué d’une balle en pleine poitrine. À 2 heures, le sous-lieutenant Vilain tombe, frappé d’une balle au front. À ce moment, le colonel mexicain réussit à mettre le feu à l’auberge.

Malgré la chaleur et la fumée qui viennent augmenter leurs souffrances, les légionnaires tiennent bon, mais beaucoup d’entre eux sont frappés. À 5 heures, autour du sous-lieutenant Maudet, ne restent que douze hommes en état de combattre. À ce moment, le colonel mexicain rassemble ses hommes et leur dit de quelle honte ils vont se couvrir s’ils n’arrivent pas à abattre cette poignée de braves (un légionnaire qui comprend l’espagnol traduit au fur et à mesure ses paroles). Les Mexicains vont donner l’assaut général par les brèches qu’ils ont réussi à ouvrir, mais auparavant, le colonel Milan adresse encore une sommation au sous-lieutenant Maudet ; celui-ci la repousse avec mépris.

L’assaut final est donné. Bientôt il ne reste autour de Maudet que cinq hommes : le caporal Maine, les légionnaires Catteau, Wensel, Constantin, Leonhard. Chacun garde encore une cartouche ; ils ont la baïonnette au canon et, réfugiés dans un coin de la cour, le dos au mur, ils font face. À un signal, ils déchargent leurs fusils à bout portant sur l’ennemi et se précipitent sur lui à la baïonnette. Le sous-lieutenant Maudet et deux légionnaires tombent, frappés à mort. Maine et ses deux camarades vont être massacrés quand un officier mexicain se précipite sur eux et les sauve. Il leur crie : « Rendez-vous ! »

« Nous nous rendrons si vous nous promettez de relever et de soigner nos blessés et si vous nous laissez nos armes ». Leurs baïonnettes restent menaçantes.

« On ne refuse rien à des hommes comme vous ! », répond l’officier.

Les soixante hommes du capitaine Danjou ont tenu jusqu’au bout leur serment. Pendant 11 heures, ils ont résisté à deux mille ennemis, en ont tué trois cents et blessé autant. Ils ont par leur sacrifice, en sauvant le convoi, rempli la mission qui leur avait été confiée.

L’empereur Napoléon III décida que le nom de Camerone serait inscrit sur le drapeau du Régiment étranger et que, de plus, les noms de Danjou, Vilain et Maudet seraient gravés en lettres d’or sur les murs des Invalides à Paris.

En outre, un monument fut élevé en 1892 sur l’emplacement du combat. Il porte l’inscription :

« Ils furent ici moins de soixante opposés à toute une armée, sa masse les écrasa. La vie plutôt que le courage abandonna ces soldats Français le 30 avril 1863. A leur mémoire, la patrie éleva ce monument »

Depuis, lorsque les troupes mexicaines passent devant le monument, elles présentent les armes. »

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec un bracelet cuir et un bracelet tactique en toile.

MÉCANISME

Calibre : OS60 série professionnelle précis au 1/20es
Remontage: Quartz

BOITIER

MatĂ©riau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Minéral renforcé
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 6mm
Dimension : 42mm
Epaisseur : 13,5mm

AG8 UTC NAVAL AVIATION

Montre réalisée en série limitée, avec et pour les pilotes de la NAVAL AVIATION et nottament le pilote Jerry Leeky avec fonction UTC. Montre avec deuxième fuseau horaire en 24h. Cette sére est réalisée en série limitée de 150 pièces, toutes versions confondues.

US NAVAL AVIATION

La United States Navy ou US Navy est la marine de guerre des États-Unis et reprĂ©sente l’une des cinq composantes des Forces armĂ©es des États-Unis.

Elle est depuis la Seconde Guerre mondiale la première force aéronavale au monde. Elle dépend du secrétaire à la Marine des États-Unis et elle est dirigée par le Chief of Naval Operations.

L’US Navy est composĂ©e en fĂ©vrier 2014 de plus de 283 bâtiments de combat dont les plus imposants (et importants) sont ses 10 porte-avions gĂ©ants et d’une aĂ©ronautique navale comportant environ 3 700 aĂ©ronefs opĂ©rationnels. Il faut y ajouter les 110 bâtiments auxiliaires, de soutien et de transport opĂ©rationnel, ravitailleurs et pĂ©troliers, et les transports du Military Sealift Command ainsi que la Flotte de rĂ©serve.

Plus d’un demi-million d’hommes et de femmes en font partie, que ce soit en service actif (226 551 au 30 septembre 20071) ou dans la rĂ©serve.

Son budget est, en 2015, au premier rang des branches des forces des États-Unis avec 147,7 milliards de dollars américains dont 22 milliards consacré à la construction navale et aux systèmes maritimes.

L’US Marine Corps dĂ©pend administrativement de l’US Navy. En cas de guerre, les forces de l’United States Coast Guard, qui relèvent du DĂ©partement de la SĂ©curitĂ© intĂ©rieure, sont placĂ©es sous le commandement de l’US Navy.

Fiche technique

BRACELETS

Livrée avec 3 bracelets interchangeables : 1 cuir naturel, 1 canvas beige et 1 caoutchouc noir.

MÉCANISME

Calibre : ETA 2893-2 – FabriquĂ© en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 21r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S+Date

BOITIER

Matériau : Acier 316L
Cadran : Bleu avec index Super Luminova BGW9
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

AG8 UTC USMC

Montre rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e, avec et pour les pilotes de l’USMC avec fonction UTC. Montre avec deuxième fuseau horaire en 24h. Cette sĂ©rie est rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e de 150 pièces, toutes versions confondues.

USMC : US MARINE CORPS

Le United States Marine Corps (en français : « le corps des Marines des États-Unis »), également abrégé en US Marine Corps ou par le sigle USMC, est une des cinq branches des Forces armées des États-Unis.

Il s’agit surtout des fusiliers marins (infanterie initialement de la Marine) de ce pays, mais le Corps a aussi ses aviateurs, ses hĂ©licoptères, ses artilleurs, ses tankistes donc sa cavalerie et ses marins.

Bien que dĂ©pendant sur le plan administratif du DĂ©partement de la Marine, il ne dĂ©pend pas de l’US Navy. Il a Ă©tĂ© mis en place le 11 juillet 1798 par un acte du Congrès des États-Unis d’AmĂ©rique, bien que deux bataillons de Marines, en tant que troupes d’infanterie embarquĂ©e, aient Ă©tĂ© constituĂ©s dès le 10 novembre 1775 sous le nom de Continental Marines au cours de la RĂ©volution amĂ©ricaine.

Le Marine Corps est la seule branche des forces armĂ©es amĂ©ricaines qui soit protĂ©gĂ©e par la loi. Après bien des discussions et tentatives de l’US Army de l’intĂ©grer dans ses rangs entre la Seconde Guerre mondiale et la guerre de CorĂ©e, sa taille et sa composition ont Ă©tĂ© Ă©noncĂ©es dans l’arrĂŞt 416 d’une loi-programme du 82e Congrès en 1952. Cette loi prĂ©cise qu’aucun prĂ©sident des États-Unis ou SecrĂ©taire de la DĂ©fense ne peut dissoudre le Corps des Marines ou le rĂ©duire Ă  une force symbolique. L’USMC doit se composer au minimum d’unitĂ©s terrestres Ă©quivalentes Ă  l’effectif de trois divisions et de trois Marine Air Wings (escadres aĂ©riennes).

SurnommĂ©s les « nuques de cuir » (leathernecks), les Marines ont Ă©tĂ© engagĂ©s depuis leur crĂ©ation dans plus de trois cents théâtres d’opĂ©rations.

Ils disposent de leur propre force aĂ©rienne, infanterie, rĂ©giments blindĂ©s, rĂ©giments d’artillerie, unitĂ©s spĂ©ciales d’intervention (MARSOC) et logistique. Ils s’appuient parfois sur l’US Navy pour leurs opĂ©rations via les bâtiments de dĂ©barquement de la Gator Navy (force amphibie amĂ©ricaine).

Leur rĂ´le dans le dispositif militaire amĂ©ricain est d’agir très rapidement dans le cadre d’une force expĂ©ditionnaire autonome sans attendre les moyens lourds de l’US Army.

Fiche technique

BRACELETS

Livrée avec 3 bracelets interchangeables : 1 cuir noir, 1 canvas kaki et 1 caoutchouc noir

MÉCANISME

Calibre : ETA 2893-2 – FabriquĂ© en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 21r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S+Date

BOITIER

Matériau : Acier 316L
Cadran : Noir avec index Super Luminova BGW9
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

RAID EDITION LIMITEE 1985-2015

Montre rĂ©alisĂ©e en Ă©dition limitĂ©e pour le 30ème anniversaire du RAID (1985-2015). Cette montre a Ă©tĂ© exclusivement dĂ©diĂ©e aux membres de ce prestigieux groupement d’intervention.

CrĂ©e en 2015, cette montre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en sĂ©rie limitĂ©e et n’est plus disponible Ă  la vente.

RAID : RECHERCHE, ASSISTANCE, INTERVENTION, DISSUASION

Le RAID est une unitĂ© d’Ă©lite de la Police nationale française. Le nom est choisi en rĂ©fĂ©rence au mot « raid », dĂ©signant un assaut militaire, mais a reçu par rĂ©tro acronymie le sens Recherche, Assistance, Intervention, Dissuasion.

FondĂ©e en 1985, par Robert Broussard et Ange Mancini notamment, l’unitĂ© participe sur l’ensemble du territoire national Ă  la lutte contre toutes les formes de criminalitĂ© et de grand banditisme.

PlacĂ© sous l’autoritĂ© directe du directeur gĂ©nĂ©ral de la Police nationale, le RAID est appelĂ© Ă  intervenir Ă  l’occasion d’Ă©vĂ©nements graves, nĂ©cessitant l’utilisation de techniques et de moyens spĂ©cifiques pour neutraliser les individus dangereux, par la nĂ©gociation ou l’intervention.

Son rĂ´le est notamment d’agir dans les situations de crise, du type prise d’otages, retranchement de forcenĂ©s ou arrestation de malfaiteurs Ă  haut risque (grand banditisme), mais aussi de contribuer Ă  la lutte antiterroriste en apportant son concours Ă  l’UnitĂ© de coordination de la lutte anti-terroriste (UCLAT) et aux autres services spĂ©cialisĂ©s, afin de mener des opĂ©rations de filature, d’observation, de renseignement et d’arrestations d’individus ou de groupes susceptibles de se livrer Ă  des actions terroristes sur le territoire français.

Le service est basĂ© Ă  Bièvres, sur le domaine de Bel-Air, dans le dĂ©partement de l’Essonne, siège de l’unitĂ© centrale, et dispose, en outre, de sept antennes, rĂ©parties sur le territoire mĂ©tropolitain, Ă  Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg. Sa devise est : « Servir sans faillir ».

Le RAID fait partie de la force d’intervention de la police nationale. PlacĂ©e sous l’autoritĂ© du directeur gĂ©nĂ©ral de la police nationale, l’unitĂ© est dirigĂ©e par un fonctionnaire du corps de conception et de direction de la police nationale.

Le RAID ne peut être déplacé ou employé que sur ordre du directeur général de la police nationale. Il n’intervient que sous le commandement de sa hiérarchie. Il n’a pas compétence pour la suite judiciaire des faits sur lesquels il est intervenu. Il peut être mis à la disposition des préfets et des procureurs de la République qui en font la demande. Dans ce cas, l’autorité requérante définit la mission générale assignée à ce service. Le chef de l’unité chargé de l’exécution de la mission demeure seul responsable des conditions et des modalités techniques de son exécution. Les chefs des services territoriaux de police lui apportent leur concours4.

Ă€ compter du mois d’avril 2015, les sept GIPN mĂ©tropolitains, situĂ©s dans les villes de Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg, sont officiellement incorporĂ©s au sein du RAID et en deviennent ses antennes territoriales5,6.

Ă€ l’issue de cette rĂ©forme, seuls les trois GIPN ultra-marins conservent ainsi leur dĂ©nomination d’origine.

Fiche technique

BRACELETS

Livrée avec 3 bracelets interchangeables : 1 cuir noir, 1 toile tactique noir et 1 caoutchouc noir.

MÉCANISME

Calibre : Chronographe Ronda 5021.D – Fabriqué en Suisse
Remontage : Quartz

BOITIER

Matériau : Acier 316L PVD noir
Cadran : noir avec index et aiguilles en Super Luminova C3
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L PVD noir
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

BRI NATIONALE 2006-2016

 

Montre rĂ©alisĂ©e en Ă©dition limitĂ©e pour le 10ème anniversaire de Brigade de Recherche et d’Intervention Nationale (BRI) qui dĂ©pend de la Direction Centrale de la Police Judiciaire.

Les brigades de Bayonne, Lille, Marseille, Nantes, Strasbourg et Versailles ont également réalisés leur version spécialisée.
Cette montre a été exclusivement dédiée aux membres de ce prestigieux groupement d’intervention.

Crée en 2016, cette montre a été réalisée en série limitée et n’est plus disponible à la vente.

RAID : RECHERCHE, ASSISTANCE, INTERVENTION, DISSUASION

Les Brigades de recherche et d’intervention (BRI), communĂ©ment appelĂ©es brigades antigang ou simplement l’Antigang, sont des unitĂ©s d’enquĂŞte et d’intervention de la police judiciaire française.

Mis Ă  part la BRI-PP qui dĂ©pend uniquement de la DRPJ de Paris, les autres BRI dĂ©pendent de l’Office central de lutte contre le crime organisĂ© (OCLCO, ex-OCRB) et sont mises Ă  disposition des DRPJ ou DIPJ, (directions rĂ©gionales ou interrĂ©gionales de police judiciaire) et de leurs composantes (SRPJ, antennes PJ), ainsi que des autres services de police qui les sollicitent (sĂ©curitĂ© publique, GIR, police d’un Ă©tat Ă©tranger, etc.)

La plus ancienne des BRI est celle de la PrĂ©fecture de police de Paris ou BRI-PP. En cas de crise, elle forme la brigade anticommando (BAC), avec le renfort d’autres unitĂ©s de la PP. On parle Ă©galement de BRI en formation BAC ou de BRI-BAC. La brigade anticommando fait partie, avec le RAID et les GIPN implantĂ©s outre-mer, de la Force d’intervention de la Police nationale.

Fiche technique

BRACELETS

Livrée avec 3 bracelets interchangeables : 1 cuir noir, 1 toile tactique noir et 1 caoutchouc noir.

MÉCANISME

Calibre : Chronographe Ronda 5021.D – Fabriqué en Suisse
Remontage : Quartz

BOITIER

Matériau : Acier 316L PVD noir
Cadran : noir avec index et aiguilles en Super Luminova C3
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L PVD noir
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

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