AG1 RAID

Première née de la maison MATWATCHES, ce garde temps robuste de forme tonneau inspiré des 70’s, étanche à 200M a su satisfaire le cahier des charges bien précis des membres du RAID et a ancré la marque dans l’univers militaire. Cette montre a été réalisée en série limitée de 150 pièces. Les aiguilles et cadran sont traités avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilité optimale en milieu aquatique ou de nuit.

Crée en 2005, cette montre a été réalisée en série limitée et n’est plus disponible à la vente

RAID

Le RAID est une unité d’élite de la Police nationale française. Le nom est choisi en référence au mot « raid », désignant un assaut militaire, mais a reçu par rétro acronymie le sens Recherche, Assistance, Intervention, Dissuasion.

Fondée en 1985, par Robert Broussard et Ange Mancini notamment, l’unité participe sur l’ensemble du territoire national à la lutte contre toutes les formes de criminalité et de grand banditisme.

Placé sous l’autorité directe du directeur général de la Police nationale, le RAID est appelé à intervenir à l’occasion d’événements graves, nécessitant l’utilisation de techniques et de moyens spécifiques pour neutraliser les individus dangereux, par la négociation ou l’intervention.

Son rôle est notamment d’agir dans les situations de crise, du type prise d’otages, retranchement de forcenés ou arrestation de malfaiteurs à haut risque (grand banditisme), mais aussi de contribuer à la lutte antiterroriste en apportant son concours à l’Unité de coordination de la lutte anti-terroriste (UCLAT) et aux autres services spécialisés, afin de mener des opérations de filature, d’observation, de renseignement et d’arrestations d’individus ou de groupes susceptibles de se livrer à des actions terroristes sur le territoire français.

Le service est basé à Bièvres, sur le domaine de Bel-Air, dans le département de l’Essonne, siège de l’unité centrale, et dispose, en outre, de sept antennes, réparties sur le territoire métropolitain, à Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg. Sa devise est : « Servir sans faillir ».

Le RAID fait partie de la force d’intervention de la police nationale. Placée sous l’autorité du directeur général de la police nationale, l’unité est dirigée par un fonctionnaire du corps de conception et de direction de la police nationale.

Le RAID ne peut être déplacé ou employé que sur ordre du directeur général de la police nationale. Il n’intervient que sous le commandement de sa hiérarchie. Il n’a pas compétence pour la suite judiciaire des faits sur lesquels il est intervenu. Il peut être mis à la disposition des préfets et des procureurs de la République qui en font la demande. Dans ce cas, l’autorité requérante définit la mission générale assignée à ce service. Le chef de l’unité chargé de l’exécution de la mission demeure seul responsable des conditions et des modalités techniques de son exécution. Les chefs des services territoriaux de police lui apportent leur concours4.

À compter du mois d’avril 2015, les sept GIPN métropolitains, situés dans les villes de Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg, sont officiellement incorporés au sein du RAID et en deviennent ses antennes territoriales5,6.

À l’issue de cette réforme, seuls les trois GIPN ultra-marins conservent ainsi leur dénomination d’origine.

Fiche technique

BRACELETS

1 bracelet en acier, 1 cuir Bund, 1 tactique en toile.

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – Fabriqué en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S+Date

BOITIER

Matériau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova avec 12 index
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 2,5mm
Fond : Massif acier 316L, Renforcé,Vissé
Couronne : Vissée diamètre 6mm
Dimension : 42mm
Epaisseur : 13,5mm

CG1 GSPR

Garde temps fabriqué pour les membres du GSPR. Son boitier ergonomique de forme tonneau inspiré des 70’s de gamme classique est étanche à 200M. Les aiguilles et cadran sont traités avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilité optimale en milieu aquatique ou de nuit.

Crée en 2006, cette montre a été réalisée en série limitée et n’est plus disponible à la vente.

GSPR : GROUPE DE SECURITE DE LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

Le Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) est une unité de la police nationale française et de la Gendarmerie nationale, rattaché administrativement au Service de la protection (SDLP). Les policiers sont issus du SDLP et les gendarmes de la Force Sécurité Protection du GIGN. Elle a deux missions distinctes mais complémentaires : assurer la protection personnelle et immédiate du président de la République française, de sa famille (dont la Première dame de France), de certaines personnalités (anciens présidents, candidats à la présidence, certains conseillers présidentiels) ainsi que de leurs résidences officielles (mission souvent conjointe avec la Garde républicaine), comme le Palais de l’Élysée ;

Mettre en œuvre l’ensemble des mesures nécessaires à l’organisation matérielle et à la sécurité des déplacements des personnes citées ci-dessus (mission conjointe avec l’Escadron de transport 60 lorsque le transport a lieu en avion ou en hélicoptère). Lors des voyages à bord de Cotam Unité, le personnel de sécurité entourant le Président se compose à la fois d’agents du GSPR et de fusilliers-commandos de l’armée de l’air.

Le Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) a été créé, par le décret no 83-14 du 5 janvier 1983 et mis en place par le colonel de gendarmerie Christian Prouteau qui avait mis en évidence des failles dans le service de sécurité du Président de la République François Mitterrand ainsi que pour protéger sa fille cachée (Mazarine Pingeot).

Historiquement, avant cette date seul avait été créé en 1943 le GSP (Groupe spécial de Protection) affecté à la sécurité de Pierre Laval, la protection du président étant confiée avant et après au Service de protection des hautes personnalités.

L’unité, composée majoritairement de gendarmes de l’ancien GSIGN à sa création, devient totalement mixte à partir de 1995, le groupe comptant alors 26 membres de la gendarmerie nationale et 26 membres de la Police nationale2.

La première femme intègre le GSPR en 1998.

Après la tentative d’attentat de Maxime Brunerie le 14 juillet 2002 sur la personne du président Jacques Chirac, les effectifs augmentent et passent à 60 fonctionnaires et militaires (30 gendarmes et 30 policiers, dont 4 femmes).

La direction du GSPR est alors également conduite sous l’égide de la parité, par une alternance tous les deux ans entre un lieutenant-colonel de la gendarmerie nationale et un commissaire de la police nationale.

À compter du 16 mai 2007, date de l’investiture du président Nicolas Sarkozy, il est mis fin, de fait, à la mixité police-gendarmerie au sein de l’unité. Les 30 gendarmes qui composaient le détachement gendarmerie du GSPR quittent l’Élysée et sont remplacés par des policiers, sélectionnés au sein du Service de protection des hautes personnalités (SPHP) ou du RAID3.

En septembre 2007, une partie des membres de l’ancien détachement gendarmerie du GSPR intègre le nouveau GIGN en cours de création.

Paru au Journal officiel du 18 décembre 2008, un décret du 17 décembre 20084 est venu abroger le décret du 5 janvier 1983 portant création de l’unité tandis qu’un arrêté du ministre de l’Intérieur du même jour « relatif aux missions et à l’organisation du service de protection des hautes personnalités »5 a procédé à l’intégration du GSPR parmi les composantes de ce service.

À la suite de l’élection de François Hollande, les gendarmes font leur retour au sein de l’unité et, pour la première fois depuis sa création, une femme, la commissaire de police Sophie Hatt, prend le commandement du groupe6.

Lors du sommet de Rio en 2012, les membres du GSPR chargés de la protection du chef de l’État français ont oublié leur mallette d’armes de poing au palais de l’Élysée lors du voyage. D’autres incidents ont été répertoriés, comme le relate l’article du journal Le Monde daté du 26 mai 2015.

Fiche technique

BRACELETS

Livrée avec 3 bracelets interchangeables : 1 bracelet en acier, un cuir bund, 1 tactique en toile noir.

MÉCANISME

Calibre : ETA 251.272 – Fabriqué en Suisse
Remontage: Quartz

BOITIER

Matériau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Minéral renforcé traité anti-reflets 2.5mm
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 6mm
Dimension : 42mm
Epaisseur : 13,5mm

AG2 COS

Ce garde temps robuste de forme tonneau inspiré des 70’s, étanche à 200M a été créé pour les membres du COS. Les aiguilles et cadran sont traités avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilité optimale en milieu aquatique ou de nuit.

Crée en 2007, cette montre a été réalisée en série limitée et n’est plus disponible à la vente.

COS : COMMANDEMENT DES OPERATIONS SPECIALES

Le Commandement des opérations spéciales (COS), placé sous les ordres du chef d’État-major des armées (CEMA) et sous l’autorité directe du président de la République française, rassemble l’ensemble des forces spéciales des différentes armées françaises sous une même autorité opérationnelle, permanente et interarmées. La nécessité d’une telle fédération est apparue après la participation française à la première guerre du Golfe et l’observation des exemples américain (USSOCOM) et britannique (UKSF).

Le COS a été créé par l’arrêté du 24 juin 1992, qui précise ses missions :

« Planifier, coordonner et conduire les actions menées par les unités spécialement organisées, entraînées et équipées pour atteindre des objectifs militaires ou paramilitaires définis par le chef d’État-major des armées. »

L’état-major du COS est situé depuis 2006 sur la base aérienne 107 à Vélizy-Villacoublay, dans les Yvelines.

Contrairement à l’USSOCOM américain, le COS ne possède pas d’unités de guerre psychologique ou d’action civilo-militaire, ce en dépit des directives du CEMA en 1993, l’amiral Jacques Lanxade, qui l’avait autorisé à « développer des capacités de guerre psychologique ».

Le COS représente début 2014 un réservoir théorique de 3 196 personnes (dont 256 dans les états-majors), auxquels s’ajoutent 400 réservistes. Son effectif réel à cette date est de 3 019 personnes. La loi de programmation militaire 2014-2019 prévoit de porter ce nombre à 3746 personnes. Son commandant (le GCOS) est depuis le mois d’août 2013, le général Grégoire de Saint-Quentin.

Le COS est un état-major interarmées placé sous l’autorité directe du chef d’État-major des armées (CEMA). Le COS est surtout un commandement opérationnel. À ce titre il n’a pas d’autorité organique directe sur les unités qu’il emploie. Néanmoins il assume certaines de ces fonctions, notamment en matière de politique d’équipement, de recherche et développement, d’entrainement et de préparation opérationnelle.

Pour effectuer les missions qu’il lui assigne, le CEMA met à la disposition du COS les moyens matériels ou humains adaptés provenant le cas échéant de n’importe quelle unité des Forces armées françaises. Le COS fait appel de manière ordinaire aux composantes spéciales des trois armées.

Fiche technique

BRACELETS

1 bracelet en acier, 1 cuir Bund, 1 tactique en toile noir.

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – Fabriqué en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S+Date

BOITIER

Matériau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova avec 12 index
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 2,5mm
Fond : Massif acier 316L, Renforcé,Vissé
Couronne : Vissée diamètre 6mm
Dimension : 42mm
Epaisseur : 13,5mm

AG3 GAO

Boitier ergonomique de forme tonneau inspiré des 70’s Gamme classique version GAO étanche à 300M. Les aiguilles et cadran sont traités avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilité optimale en milieu aquatique ou de nuit.

Crée en 2007, cette montre a été réalisée en série limitée et n’est plus disponible à la vente.

GAO DE LA DGSI : DIRECTION DE LA SURVEILLANCE DU TERRITOIRE

La direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI) est le service de renseignement du ministère de l’Intérieur français créé le 12 mai 2014 et chargé sur l’ensemble du territoire, de rechercher, de centraliser et d’exploiter le renseignement intéressant la Sécurité nationale ou les intérêts fondamentaux de la nation.

La DGSI s’est substituée à la direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), née en 2008 de la fusion de la direction de la Surveillance du territoire (DST) et de la direction centrale des Renseignements généraux (RG).

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec 1 bracelet en acier, 1 cuir Bund et 1 tactique en toile noir

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – Fabriqué en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S+Date

BOITIER

Matériau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec 12 index Super Luminova
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 2.5mm
Fond : Massif acier 316L, Renforcé,Vissé
Couronne : Vissée diamètre 6mm
Dimension : 42mm hors couronne
Epaisseur : 13.5mm

COMMANDOS MARINE

Le chronographe à quartz Commando Marine est un produit technique précis au 1/20e de seconde. Les aiguilles et le cadran sont traités au Super Luminova afin d’offrir une lisibilité maximale dans toutes conditions. Son étanchéité a été contrôlée à 200 mètres.

Crée en 2007, cette montre à été réalisée en série limitée et n’est plus disponible à la vente.

COMMANDOS MARINE

Les commandos marine sont des unités de combat de la Marine nationale française.

Ils comprennent six unités opérationnelles d’environ 90 hommes : le commando Jaubert, le commando de Montfort, le commando de Penfentenyo, le commando Trépel, le commando Hubert et le commando Kieffer, ainsi qu’une unité de soutien d’environ 160 hommes, le commando Ponchardier.

Ils font partie de la force maritime des fusiliers marins et commandos (FORFUSCO) et peuvent être employés indifféremment par la Marine nationale ou le commandement des opérations spéciales (COS).

Ils ont pour mission d’effectuer les opérations spéciales de la Marine (assaut à la mer, appui et destruction à distance, reconnaissance, action sous-marine) ainsi que certaines missions en appui des forces aéro-maritimes (opérations amphibies, guidage et appui feu, renfort des équipes de visite, contrôle d’embargo) et d’action de l’État en mer (opérations de police en mer : pêches, immigration clandestine, lutte contre le terrorisme maritime, la piraterie et contre les trafics illicites).

Regroupant l’ensemble des capacités militaires des forces spéciales, (action offensive, reconnaissance, renseignement, appuis, mobilité) ils interviennent pour le Commandement des opérations spéciales en dehors du territoire national. Leurs actions dans ce cadre, discrètes voire secrètes, sont rarement portées à la connaissance du public.

Ils ont été particulièrement actifs ces dernières années en Afghanistan, dans l’océan Indien, en Afrique et au Moyen-Orient.

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec un bracelet cuir, un bracelet en acier et un bracelet en toile tactique noir.

MÉCANISME

Calibre : OS60 série professionnelle précis au 1/20e s
Remontage: Quartz

BOITIER

Matériau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Minéral renforcé
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 6mm
Dimension : 42mm
Epaisseur : 13,5mm

CTLO COMMANDO JAUBERT

Série réalisée pour le CTLO/COMMANDO JAUBERT. Cette montre, avec son boitier ergonomique de forme tonneau inspiré des 70’s Gamme classique est étanche à 200M. Les aiguilles et cadran sont traités avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilité optimale en milieu aquatique ou de nuit.

Crée en 2008, cette montre a été réalisée en série limitée et n’est plus disponible à la vente.

COMMANDO JAUBERT-CTLO

Le commando Jaubert est un des sept commandos marine de la Marine Nationale française.

Il est l’héritier direct de la compagnie Merlet, compagnie de reconnaissance constituée de marins volontaires en décembre 1944 pour aller combattre les japonais. La Compagnie Merlet participera à la campagne d’Italie avant de rejoindre Arcachon pour partir combattre en Indochine au sein de la Brigade Marine d’Extreme Orient à compter d’octobre 1945. Elle prend le nom de Compagnie Jaubert en mémoire du capitaine de frégate François Jaubert (officier Fusilier Marin blessé mortellement le 25 janvier 1946 devant Tan Huyen, en Indochine française) puis elle deviendra le 1er janvier 1948 la première unité commando de la Marine Nationale sous le nom de commando Jaubert. Il est considéré comme la matrice des commandos Marine.

Le commando Jaubert est un corps militaire. Son chef de corps est un officier supérieur. Il est sous le commandement organique de l’amiral commandant la FORFUSCO. Il fait partie des unités employées par le Commandement des opérations spéciales depuis 1992.

Basé à Lorient, le commando est spécialisé dans l’action spéciale offensive en milieu terrestre ou maritime, le contre terrorisme et la libération d’otages.

Il comprend notamment un groupe CTLO (Contre-terrorisme et libération d’otages), comme le commando Trepel et le commando Hubert.

Titulaire de huit citations, dont trois par filiation, son fanion porte la croix de guerre 1939-1945 avec une étoile de bronze, la croix de guerre des Théâtres d’opérations extérieurs avec six palmes et la croix de la valeur militaire avec une palme. Il porte également les fourragères à la couleur du ruban de la Légion d’honneur, aux couleurs du ruban de la Médaille militaire et aux couleurs du ruban de la croix de guerre des Théâtres d’opérations extérieurs. C’est l’unité élémentaire (équivalent compagnie) la plus décorée de France.

Les six autres commandos Marine sont héritiers de ses traditions. Ils ont le droit au port de la fourragère à la couleur du ruban de la Légion d’honneur avec une olive aux couleurs du ruban de la médaille militaire-croix de guerre 1939-1945 et une olive aux couleurs du ruban de la croix de guerre TOE.

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec 1 bracelet cuir Bund et 1 tactique en toile.

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – Fabriqué en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S+Date

BOITIER

Matériau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index SL 12, 3, 6 et 9
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 2.5mm
Fond : Massif acier 316L, Renforcé,Vissé
Couronne : Vissée diam. 6mm
Dimension : 42mm hors couronne
Epaisseur : 13.5mm

AG3 ERIS

Cette montre est une série spéciale réalisé pour les membres des équipes régionales d’intervention et de sécuirité (ERIS). Son boitier ergonomique de forme tonneau inspiré des 70’s, de gamme classique est étanche à 200M. Les aiguilles et cadran sont traités avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilité optimale en milieu aquatique ou de nuit.

Crée en 2009, cette montre a été réalisée en série limitée et n’est plus disponible à la vente.

ERIS : EQUIPES REGIONALES D’INTERVENTION ET DE SECURITE

Les équipes régionales d’intervention et de sécurité (ÉRIS) sont des unités d’intervention chargées d’agir en cas de tension dans un établissement pénitentiaire en France. Elles ont été créées sur décision de Dominique Perben, alors ministre de la justice français, en février 2003.

Les ÉRIS sont créées en 2003 après les mutineries successives dans les centrales de Moulins et de Clairvaux1. À la création des équipes le nombre de personnes est de 2102. En 2010, les ÉRIS sont formées d’environ 400 personnes issues de l’administration pénitentiaire française.

Le personnel des ÉRIS est formé par le Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN). Ces dix équipes régionales ont été spécialement formées et équipées pour agir en cas de tension dans un établissement pénitentiaire (maintien et rétablissement de l’ordre en milieu carcéral, sécurisation d’établissements pénitentiaires…). Elles assurent également la sécurité lors des transferts de certains prévenus et/ou de détenus au profil sensible. Cependant ces équipes ne se substituent pas aux forces de l’ordre républicain en cas de situation critique qui leur vaut le surnom de « GIGN de la pénitentiaire ».

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec 1 bracelet en acier, 1 cuir Bund et 1 tactique en toile

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – Fabriqué en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S+Date

BOITIER

Matériau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Superluminova
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 2.5mm
Fond : Massif acier 316L, Renforcé,Vissé
Couronne : Vissée diam. 6mm
Dimension : 42mm hors couronne
Epaisseur : 13.5mm

TIMER OPS GIGN

Le chronographe à quartz du GIGN est un produit technique précis au 1/20e de seconde.

Son cadran est orné du logo du GIGN. Les aiguilles et le cadran sont traités au Super Luminova afin d’offrir une lisibilité maximale dans toutes conditions. Ce garde temps a une étanchéité contrôlée à 200 mètres.

Crée en 2009, cette montre a été réalisée en série limitée et n’est plus disponible à la vente.

GIGN : GROUPEMENT D’INTERVENTION DE LA GENDARMERIE NATIONALE

Créé au début des années 1970 comme une unité d’intervention, le GIGN, après avoir acquis un savoir-faire et une réputation incontestables dans son domaine, était devenu dans les années 1980 la composante « intervention » du Groupement de sécurité et d’intervention de la gendarmerie nationale (GSIGN), formation qui regroupait également d’autres unités de gendarmerie spécialisées dans la sécurité-protection, la collecte de renseignement et la formation. Le 1er septembre 2007, une profonde réorganisation a lieu et un « nouveau » GIGN remplace le GSIGN3. Plus qu’un simple changement de nom, cette réorganisation a pour but de renforcer l’homogénéité de l’unité, d’optimiser l’utilisation de ses moyens, d’augmenter ses capacités de réaction en cas d’événements d’envergure (notamment prises d’otages de masse, « POM » en abrégé) et de créer des synergies plus fortes entre des personnels issus d’un tronc commun de recrutement et de formation.

Unité de référence de la Gendarmerie dans les domaines de l’« intervention spécialisée », de l’observation-recherche et de la sécurité-protection, le GIGN en élabore les doctrines avant d’en être le principal acteur. Son action est complétée ou relayée par diverses unités régionales, en métropole comme outre-mer (principalement PI2G, PSPG et GPI). Le GIGN est très étroitement impliqué dans le recrutement, la formation, l’évaluation et le recyclage du personnel de ces unités qui, sauf urgence absolue, interviennent sous son contrôle opérationnel.

En réponse à la multiplication des prises d’otages au début des années 1970 (notamment à la centrale de Clairvaux (10) en 1971 et lors des Jeux olympiques de Munich en 1972), un premier GIGN est formé le 11 octobre 1973 au sein de l’escadron parachutiste de Mont-de-Marsan, tandis qu’une équipe commando régionale d’intervention (ECRI) est formée le 1er décembre de la même année au sein du groupe d’escadrons I/2 de gendarmerie mobile de Maisons-Alfort5. Le commandement de l’ECRI est confié au lieutenant Christian Prouteau et l’unité devient opérationnelle le 1er mars 1974 (qui deviendra la date d’anniversaire du GIGN). Sa première opération a lieu dès le 10 mars 1974 pour neutraliser un forcené retranché dans son appartement avec deux otages à Ecquevilly.

Le 16 avril 1974, le GIGN de Mont-de-Marsan devient le GIGN no 4 tandis que l’ECRI de Maisons-Alfort devient GIGN no 1. À cette époque, le GIGN n° 1 opère sur le territoire des 1re, 2e, 3e et 6e régions militaires, tandis que le GIGN no 4 opère sur les 4e, 5e et 7e régions militaires. Unité parachutiste, implantée sur la façade atlantique le GIGN est également plus orienté sur la problématique maritime et comporte un groupe de plongeurs, mais commandé à tour de rôle par les officiers de l’escadron, ses membres restent assujettis aux priorités de ce dernier et il est moins sollicité que l’unité de Maisons-Alfort.

En 1976, la Gendarmerie décide de regrouper les deux unités, principalement pour des raisons de coût et d’efficacité. Le 31 mai 1976, les deux GIGN 1 et 4 sont dissous et rassemblés le 1er juin de la même année en une seule unité basée à Maisons-Alfort, dénommée GIGN, unité parachutiste qui, après son déménagement à Satory (à Versailles) en 1982, est rejointe en 1984 au sein d’une nouvelle formation appelée Groupement de sécurité et d’intervention de la Gendarmerie nationale (GSIGN) (créée elle-même en 1983), d’abord par l’escadron parachutiste, qui devient à cette occasion Escadron parachutiste d’intervention de la Gendarmerie nationale (EPIGN), puis en 1986, par le Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR), formation créée en 1983

En 2007, le GSIGN est réorganisé et rebaptisé GIGN, les anciens GIGN, EPIGN et GSPR fournissant les principales composantes de la nouvelle organisation.

En 2015, le GIGN est engagé simultanément pour la première fois avec le RAID, unité d’élite de la Police nationale, lors de la double prise d’otages du 9 janvier faisant suite aux attentats de janvier 2015 en France.

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec un bracelet cuir, un bracelet acier et un bracelet en toile tactique noir.

MÉCANISME

Calibre : OS60 série professionnelle précis au 1/20e s

BOITIER

Matériau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Minéral renforcé
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 6mm
Dimension : 42mm
Epaisseur : 13,5mm

TIMER OPS SPHP

Le chronographe à quartz des SPHP est un produit robuste, technique et précis au 1/20e de seconde. Son cadran est orné du logo du GIGN. Les aiguilles et le cadran sont traités au Super Luminova afin d’offrir une lisibilité maximale dans toutes conditions. Ce chronographe a une étanchéité contrôlée à 200 mètres.

Crée en 2009, cette montre a été réalisée en série limitée et n’est plus disponible à la vente.

SPHP : SERVICE DE LA PROTECTION

Le Service de la protection (SDLP) est un service de la Police nationale française chargé de missions de protection rapprochée et d’accompagnement de sécurité au profit des dirigeants ou ex-dirigeants de la République française, de ses hôtes étrangers ou bien encore de personnes spécialement menacées. Le Service met également en œuvre les mesures nécessaires à l’organisation matérielle et à la sécurité des visites officielles en France et à l’étranger. Il assure la surveillance et la protection des bâtiments et emprises de l’administration centrale du ministère de l’Intérieur.

Après l’assassinat du roi Alexandre Ier et de Louis Barthou, ministre français des Affaires étrangères, né à Oloron Sainte-Marie (Pyrénées Inférieures), à Marseille, en 1934, est créé le « service des voyages officiels et de la sécurité des hautes personnalités » (SVOSHP), abrégé dans le langage policier en « Voyages Officiels » ou « VO ». Un décret signé par le président de la République Gaston Doumergue le 14 décembre 1929 prévoyait déjà l’organisation de ce service. L’assassinat du roi accélère sa mise en place par une instruction interministérielle du 1er mars 1935.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, la protection du maréchal Philippe Pétain est assurée par la garde personnelle du chef de l’État qui comprend un peloton motocycliste, qui devient en 1944 la Section Motocycliste d’Escorte, service assurée en 1948, par la Compagnie républicaine de sécurité CRS n° 1, pour la sécurité de Pierre Laval, est créé par René Bousquet le GSP (Groupe Spécial de Protection) unité de 247 personnes dissoute en août 1944.

Après la Seconde Guerre mondiale, la sécurité du Général de Gaulle sera notamment assurée par un groupe d’hommes dirigé par l’Inspecteur général honoraire de de la Police Nationale et Président du Club de Tir de Paris de la Police Nationale6 Raymond Sasia, premier policier français diplômé de l’académie du FBI à Quantico en Virginie aux États-Unis.

Aux termes d’un arrêté du 19 octobre 1994 sous l’impulsion du ministre de l’Intérieur Charles Pasqua, le service prend l’appellation de « service de protection des hautes personnalités » (SPHP)7.

En juin 2010, un rapport de la Cour des comptes mentionnait notamment, parmi les personnalités bénéficiant d’une protection du SPHP, les anciens premiers ministres Dominique de Villepin et Jean-Pierre Raffarin, les anciens ministres de l’Intérieur Pierre Joxe, Jean-Pierre Chevènement et Charles Pasqua, les anciennes épouses de président Danielle Mitterrand et Bernadette Chirac, les anciens candidats à l’élection présidentielle de 2007 François Bayrou et Ségolène Royal, l’ancienne otage et parlementaire Ingrid Betancourt, l’ancien ministre Michel Charasse ou encore la présidente du MEDEF Laurence Parisot8.

En 2013, dans le cadre de la réforme de l’administration centrale des ministères de l’Intérieur et des Outre-mer, le service prend le nom de « Service de la protection » (SDLP) et intègre dans son organigramme le « Service de sécurité du ministère de l’Intérieur » (SSMI) et le « Service central automobile » (SCA).

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec un bracelet cuir, un bracelet acier et un bracelet en toiel tactique noir.

MÉCANISME

Calibre : OS60 série professionnelle précis au 1/20e s

BOITIER

Matériau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Minéral renforcé
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 6mm
Dimension : 42mm
Epaisseur : 13,5mm

AG6 2 C 3 ERIS

Instrument réalisé pour les membres de l’ERIS robuste de par sa construction monobloc avec lunette tournante unidirectionnelle gravée, fonction heure, minute, seconde et une étanchéité contrôlée à 300 mètres. Les aiguilles et cadran sont traités avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilité optimale en milieu aquatique ou de nuit.

Crée en 2014, cette montre a été réalisée en série limitée et n’est plus disponible à la vente.

ERIS : EQUIPES REGIONALES D’INTERVENTION ET DE SECURITE

Les équipes régionales d’intervention et de sécurité (ÉRIS) sont des unités d’intervention chargées d’agir en cas de tension dans un établissement pénitentiaire en France. Elles ont été créées sur décision de Dominique Perben, alors ministre de la justice français, en février 2003.

Les ÉRIS sont créées en 2003 après les mutineries successives dans les centrales de Moulins et de Clairvaux1. À la création des équipes le nombre de personnes est de 2102. En 2010, les ÉRIS sont formées d’environ 400 personnes issues de l’administration pénitentiaire française.

Le personnel des ÉRIS est formé par le Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN). Ces dix équipes régionales ont été spécialement formées et équipées pour agir en cas de tension dans un établissement pénitentiaire (maintien et rétablissement de l’ordre en milieu carcéral, sécurisation d’établissements pénitentiaires…). Elles assurent également la sécurité lors des transferts de certains prévenus et/ou de détenus au profil sensible. Cependant ces équipes ne se substituent pas aux forces de l’ordre républicain en cas de situation critique qui leur vaut le surnom de « GIGN de la pénitentiaire ».

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec 3 bracelets interchangeables : un bracelet cuir, 1 caoutchouc et 1 tactique en toile.

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – Fabriqué en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S

BOITIER

Matériau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

TIMER ONE A.N.O.R.A.A

Le chronographe à quartz A.N.O.R.A.A est un produit technique précis au 1/20e de seconde.

Les aiguilles et le cadran sont traités au Super Luminova afin d’offrir une lisibilité maximale dans toutes conditions. Ce chronographe est étanche à 200 mètres.

Crée en 2009, cette montre a été réalisée en série limitée et n’est plus disponible à la vente.

A.N.O.R.A.A : ASSOCIATION NATIONALE DES OFFICIERS DE RESERVE DE L’ARMEE DE L’AIR

L’association dénommée « ASSOCIATION NATIONALE DES OFFICIERS DE RESERVE DE L’ARMEE DE L’AIR » (A.N.O.R.A.A.), fondée en 1926 sans limitation de durée et régie par la loi du 1er juillet 1901 et par les décrets d’application, a pour objet de :

Susciter, promouvoir et aider à la réalisation de toutes actions ou mesures utiles permettant de développer, améliorer et, au besoin créer les divers aspects d’une politique favorable à la Défense Nationale, en général, et à l’Armée de l’Air, en particulier.

Pour atteindre ces buts, l’Association devra :

  1. Contribuer au développement du rôle social et humain de l’Officier de réserve de l’Armée de l’Air, qui doit pouvoir servir d’intermédiaire entre l’Armée de l’Air et la Nation en facilitant, dans son environnement civil, la promotion de l’Armée de l’Air, en y faisant connaître ses besoins, ses aspirations et ses réalisations, et si nécessité s’en faisait sentir, en y défendant son image de marque, en apportant son aide et son expérience au personnel de l’Armée de l’Air en tout temps et en toutes circonstances, y compris lorsqu’il est rendu à la vie civile.
  2. Assurer la défense des intérêts moraux et matériels des réserves de l’Armée de l’Air auprès des Autorités civiles ou militaires.
  3. Resserrer les liens qui doivent unir les Officiers de réserve appartenant aux différents corps de l’Armée de l’Air, créer et maintenir entre eux entraide et solidarité ,
  4. Représenter les Officiers de réserve de l’Armée de l’Air auprès des Associations analogues d’Officiers de réserve des autres armées et des services communs, auprès des Associations contribuant à la Défense Nationale et auprès des Associations aéronautiques en général.
  5. Enfin, mener toutes actions privées, publiques ou collectives nécessaires pour atteindre ses buts.
Fiche technique

BRACELETS

Livré avec un bracelet cuir bund, un toile tactique noir et un bracelet acier.

MÉCANISME

Calibre : OS60 série professionnelle précis au 1/20e s
Remontage: Quartz

BOITIER

Matériau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Minéral renforcé
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 6mm
Dimension : 42mm
Epaisseur : 13,5mm

AG6 1 DEMINEUR

Montre réalisée pour les démineurs de la sécurité civile. C’est un instrument ultra robuste destiné aux professionnels de par sa construction monobloc avec lunette tournante unidirectionnelle gravée, fonction heure, minute, seconde et une étanchéité contrôlée à 300 mètres. Les aiguilles et cadran sont traités avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilité optimale en milieu aquatique ou de nuit.

DEMINEURS DE LA SECURITE CIVILE

Le déminage est un ensemble d’actions visant à l’élimination des mines terrestres ou navales d’une zone. Le déminage est la détection de ces mines, puis leurs enlèvements. On distingue deux types de déminage, celui militaire et celui du déminage humanitaire. Au sens large et par extension, il s’agit de la recherche, neutralisation, enlèvement et stockage ou destruction des munitions, mines, pièges, engins et explosifs susceptibles de poser problèmes pour la sécurité ou l’environnement. Dans le cadre de la reconstruction qui a suivi la Première Guerre mondiale, on parlait plutôt de « désobusage ».

Le service de déminage de la sécurité civile est dirigé depuis 2014 par le commissaire divisionnaire Christophe Bellini, chef du bureau du déminage.

Répartis dans vingt centres et une antenne, et quatre sites en métropole et outre-mer, les quelque 300 démineurs de la Sécurité civile (devise : « Réussir ou Périr ») ont trois missions principales :

La neutralisation et la destruction des munitions non explosées (encore régulièrement découvertes par les agriculteurs et forestiers ou entrepreneurs de travaux publics des anciens départements de la Zone rouge (zone la plus touchée par la première Guerre mondiale) ou des zones touchées par la seconde Guerre mondiale) ;

La détection, la neutralisation, l’enlèvement et la destruction des munitions et des explosifs ;

La sécurisation des voyages officiels et des grands rassemblements.

Ce travail peut se faire en collaboration avec l’armée (par exemple avec le Centre opérationnel interarmées pour la gestion des obus chimiques qui étaient stockés à Vimy dans de mauvaises conditions, et qui ont été déménagés à Suippes près des silos d’anciens missiles nucléaires Hades2. Dans ce cas, l’armée s’est chargée de la sécurisation du dépôt de Vimy, du transport et installation à Suippes des obus, et d’une « phase de confirmation, de re-sécurisation de l’ensemble du dépôt de Suippes ».

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec 3 bracelets interchangeables : un bracelet cuir, 1 caoutchouc et 1 tactique en toile

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – Fabriqué en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S+Date

BOITIER

Matériau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec 12 index Super Luminova
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm hors protection
Epaisseur : 15,5mm

AG3 BSPP

Montre d’honneur du général commandant de la brigade des sapeurs pompiers de Paris. Cette montre a été réalisée en série limitée. Son boitier ergonomique de forme tonneau inspiré des 70’s de gamme classique est étanche à 200M.

Les aiguilles et cadran sont traités avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilité optimale en milieu aquatique ou de nuit.

Crée en 2011, cette montre a été réalisée en série limitée et n’est plus disponible à la vente.

BSPP : BRIGADE DE SAPEURS-POMPIERS DE PARIS

La brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP), familièrement appelée La Brigade est une unité du génie de l’armée de terre française, placée sous l’autorité du préfet de police et commandée par le général de brigade Philippe Boutinaud (depuis le 1er août 2015)1. Elle est la troisième plus grande unité d’élite au monde concernant les pompiers.

Elle intervient pour l’agglomération parisienne, dans Paris et dans ses trois départements limitrophes (appelé communément : « petite couronne ») : Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne. Elle assure également la protection de la base spatiale de Kourou, en Guyane française ainsi que la base à Biscarrosse de la DGA Essais de missiles. La devise de la BSPP est « Sauver ou périr ».

La BSPP comprenait 8 456 sapeurs-pompiers en 20122, dont un peu plus de 300 officiers, environ 1 500 sous-officiers, le reste étant composé de militaires du rang, soit environ 114 pompiers pour 100 000 habitants. La moyenne nationale est de 382 pompiers pour 100 000 habitants, mais la zone couverte par la BSPP est très petite et permet donc des temps d’interventions courts avec un effectif réduit : on compte 9,2 pompiers par km2 dans la zone BSPP, contre 0,34 en moyenne en France. Avec 8 500 sapeurs-pompiers, en terme d’effectifs Paris se place derrière Tokyo (17 000) et New York (16 000) et devant Londres (7 000)[réf. nécessaire].

Le budget annuel de fonctionnement était de 323,7 millions d’euros en 20122, dont 78,2 % de soldes (rémunération et Cotisations sociales), 10,5 % de matériel, 8,8 % d’investissement immobilier et 2,5 % de loyers et charges. Les contributeurs à ce budget sont les départements (29 %), la ville de Paris (26 %), le ministère de l’Intérieur (24 %) et les autres communes (21 %)[réf. nécessaire].

La BSPP est régie actuellement par les articles R.3222-13 à R.3222-18 du code de la défense.

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec 1 bracelet en acier, 1 cuir Bund et 1 tactique en toile.

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – Fabriqué en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S+Date

BOITIER

Matériau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index SL 12, 3, 6 et 9
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 2.5mm
Fond : Massif acier 316L, Renforcé,Vissé
Couronne : Vissée diam. 6mm
Dimension : 42mm hors couronne
Epaisseur : 13.5mm

A.N.O.R.A.A CHRONOGRAPHE

Montre réalisée en édition limitée pour les officiers de reserve de l’armée de l’air (A.N.O.R.A.A). Les aiguilles et cadran sont traités avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilité optimale en milieu aquatique ou de nuit.

Crée en 2012, cette montre a été réalisée en série limitée et n’est plus disponible à la vente.

A.N.O.R.A.A : ASSOCIATION NATIONALE DES OFFICIERS DE RESERVE DE L’ARMEE DE L’AIR

L’association dénommée « ASSOCIATION NATIONALE DES OFFICIERS DE RESERVE DE L’ARMEE DE L’AIR » (A.N.O.R.A.A.), fondée en 1926 sans limitation de durée et régie par la loi du 1er juillet 1901 et par les décrets d’application, a pour objet de :

Susciter, promouvoir et aider à la réalisation de toutes actions ou mesures utiles permettant de développer, améliorer et, au besoin créer les divers aspects d’une politique favorable à la Défense Nationale, en général, et à l’Armée de l’Air, en particulier.

Pour atteindre ces buts, l’Association devra :

  1. Contribuer au développement du rôle social et humain de l’Officier de réserve de l’Armée de l’Air, qui doit pouvoir servir d’intermédiaire entre l’Armée de l’Air et la Nation en facilitant, dans son environnement civil, la promotion de l’Armée de l’Air, en y faisant connaître ses besoins, ses aspirations et ses réalisations, et si nécessité s’en faisait sentir, en y défendant son image de marque, en apportant son aide et son expérience au personnel de l’Armée de l’Air en tout temps et en toutes circonstances, y compris lorsqu’il est rendu à la vie civile.
  2. Assurer la défense des intérêts moraux et matériels des réserves de l’Armée de l’Air auprès des Autorités civiles ou militaires.
  3. Resserrer les liens qui doivent unir les Officiers de réserve appartenant aux différents corps de l’Armée de l’Air, créer et maintenir entre eux entraide et solidarité ,
  4. Représenter les Officiers de réserve de l’Armée de l’Air auprès des Associations analogues d’Officiers de réserve des autres armées et des services communs, auprès des Associations contribuant à la Défense Nationale et auprès des Associations aéronautiques en général.
  5. Enfin, mener toutes actions privées, publiques ou collectives nécessaires pour atteindre ses buts.
Fiche technique

BRACELETS

Livrée avec 3 bracelets interchangeables : 1 cuir noir, 1 toile tactique noir et 1 caoutchouc noir.

MÉCANISME

Calibre : Chronographe Ronda 5021.D – Fabriqué en Suisse
Remontage : Quartz

BOITIER

Matériau : Acier 316L PVD noir
Cadran : index et aiguilles en Super Luminova
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L PVD noir
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

SPHP CHRONOGRAPHE

Montre réalisée en série limitée pour les membres des SPHP. Les aiguilles et cadran sont traités avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilité optimale en milieu aquatique ou de nuit.

Crée en 2012, cette montre a été réalisée en série limitée et n’est plus disponible à la vente.

SPHP : SERVICE DE LA PROTECTION

Le Service de la protection (SDLP) est un service de la Police nationale française chargé de missions de protection rapprochée et d’accompagnement de sécurité au profit des dirigeants ou ex-dirigeants de la République française, de ses hôtes étrangers ou bien encore de personnes spécialement menacées. Le Service met également en œuvre les mesures nécessaires à l’organisation matérielle et à la sécurité des visites officielles en France et à l’étranger. Il assure la surveillance et la protection des bâtiments et emprises de l’administration centrale du ministère de l’Intérieur.

Après l’assassinat du roi Alexandre Ier et de Louis Barthou, ministre français des Affaires étrangères, né à Oloron Sainte-Marie (Pyrénées Inférieures), à Marseille, en 1934, est créé le « service des voyages officiels et de la sécurité des hautes personnalités » (SVOSHP), abrégé dans le langage policier en « Voyages Officiels » ou « VO ». Un décret signé par le président de la République Gaston Doumergue le 14 décembre 1929 prévoyait déjà l’organisation de ce service. L’assassinat du roi accélère sa mise en place par une instruction interministérielle du 1er mars 1935.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, la protection du maréchal Philippe Pétain est assurée par la garde personnelle du chef de l’État qui comprend un peloton motocycliste, qui devient en 1944 la Section Motocycliste d’Escorte, service assurée en 1948, par la Compagnie républicaine de sécurité CRS n° 1, pour la sécurité de Pierre Laval, est créé par René Bousquet le GSP (Groupe Spécial de Protection) unité de 247 personnes dissoute en août 1944.

Après la Seconde Guerre mondiale, la sécurité du Général de Gaulle sera notamment assurée par un groupe d’hommes dirigé par l’Inspecteur général honoraire de de la Police Nationale et Président du Club de Tir de Paris de la Police Nationale6 Raymond Sasia, premier policier français diplômé de l’académie du FBI à Quantico en Virginie aux États-Unis.

Aux termes d’un arrêté du 19 octobre 1994 sous l’impulsion du ministre de l’Intérieur Charles Pasqua, le service prend l’appellation de « service de protection des hautes personnalités » (SPHP)7.

En juin 2010, un rapport de la Cour des comptes mentionnait notamment, parmi les personnalités bénéficiant d’une protection du SPHP, les anciens premiers ministres Dominique de Villepin et Jean-Pierre Raffarin, les anciens ministres de l’Intérieur Pierre Joxe, Jean-Pierre Chevènement et Charles Pasqua, les anciennes épouses de président Danielle Mitterrand et Bernadette Chirac, les anciens candidats à l’élection présidentielle de 2007 François Bayrou et Ségolène Royal, l’ancienne otage et parlementaire Ingrid Betancourt, l’ancien ministre Michel Charasse ou encore la présidente du MEDEF Laurence Parisot8.

En 2013, dans le cadre de la réforme de l’administration centrale des ministères de l’Intérieur et des Outre-mer, le service prend le nom de « Service de la protection » (SDLP) et intègre dans son organigramme le « Service de sécurité du ministère de l’Intérieur » (SSMI) et le « Service central automobile » (SCA).

Fiche technique

BRACELETS

Livrée avec 3 bracelets interchangeables : 1 cuir noir, 1 toile tactique noir et 1 caoutchouc noir.

MÉCANISME

Calibre : Chronographe Ronda 5021.D – Fabriqué en Suisse
Remontage : Quartz

BOITIER

Matériau : Acier 316L PVD noir
Cadran : index et aiguilles en Super Luminova
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L PVD noir
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

AG6 2 C3 GIPN

Instrument réalisé en partenariat avec les membres du GIPN à l’occasion du 40ème anniversaire du groupement d’intervention. Les aiguilles et le cadran sont traités avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilité optimale en milieu aquatique ou de nuit mais le boitier en PVD noir assure un maximum de discrétion lors des opérations.

Crée en 2012, cette montre a été réalisée en série limitée et n’es plus disponible à la vente.

GIPN : GROUPE D’INTERVENTION DE LA POLICE NATIONALE

Les groupes d’intervention de la Police nationale (GIPN) sont des unités d’élite de la Police nationale française, implantées dans des collectivités d’outre-mer. Les GIPN, au nombre de trois en 2015, sont destinés à intervenir dans des situations d’extrême violence ou à haut risques telles que les prises d’otages, les actes de terrorisme, les mutineries dans les prisons ou les interpellations d’individus dangereux ou de forcenés.

Composés de fonctionnaires de police recrutés selon des critères très sélectifs, dotés de matériels performants et soumis à un entraînement constant et rigoureux, les GIPN peuvent se définir comme des groupes de policiers au service d’autres policiers.

Avant le mois d’avril 2015, l’appellation de GIPN était également portée par les sept unités implantées en métropole (Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg). Depuis cette date, ces sept groupes ont été directement intégrés au sein du RAID et en sont devenus ses antennes territoriales.

Les premiers GIPN, alors au nombre de onze, ont été mis en place le 27 octobre 1972, soit un an et demi avant le GIGN et treize ans avant le RAID.

La création des GIPN a été motivée par l’assassinat, en 1972, des athlètes israéliens pris en otages lors des Jeux olympiques de Munich. Le gouvernement français a souhaité se doter d’équipes de police capables d’intervenir dans des situations graves comme les prises d’otages, les attentats terroristes, les émeutes. Pour cela, il charge le commissaire divisionnaire Georges Nguyen Van Loc de créer le premier groupe à Marseille.

Le territoire métropolitain est alors découpé en zones de compétence pour chaque groupe d’intervention. En 1985, le nombre de GIPN est de sept. Les groupes métropolitains sont localisés dans les villes suivantes : Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg. Puis, en 1992 et 1993, sont créés les GIPN de La Réunion et de la Nouvelle-Calédonie, ce qui porte le nombre de GIPN à neuf. Un dixième groupe est créé en 2007, afin de couvrir la zone Antilles-Guyane.

À compter du mois d’avril 2015, les sept GIPN métropolitains, situés dans les villes de Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg, sont officiellement incorporés au sein du RAID et en deviennent ses antennes territoriales1.

À l’issue de cette réforme, seuls les trois GIPN ultra-marins conservent ainsi la dénomination d’origine.

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec 3 bracelets interchangeables : un bracelet cuir, 1 caoutchouc et 1 tactique en toile.

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – Fabriqué en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S

BOITIER

Matériau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

AG6 2 C3 RAID

Instrument réalisé en partenariat avec les membres du RAID. Les aiguilles et le cadran sont traités avec une matière luminescente Super Luminova afin de garantir une lisibilité optimale en milieu aquatique ou de nuit mais le boitier en PVD noir assure un maximum de discrétion lors des opérations.

Crée en 2013, cette montre a été réalisée en série limitée et n’est plus disponible à la vente.

RAID : RECHERCHE, ASSISTANCE, INTERVENTION, DISSUASION

Le RAID est une unité d’élite de la Police nationale française. Le nom est choisi en référence au mot « raid », désignant un assaut militaire, mais a reçu par rétro acronymie le sens Recherche, Assistance, Intervention, Dissuasion.

Fondée en 1985, par Robert Broussard et Ange Mancini notamment, l’unité participe sur l’ensemble du territoire national à la lutte contre toutes les formes de criminalité et de grand banditisme.

Placé sous l’autorité directe du directeur général de la Police nationale, le RAID est appelé à intervenir à l’occasion d’événements graves, nécessitant l’utilisation de techniques et de moyens spécifiques pour neutraliser les individus dangereux, par la négociation ou l’intervention.

Son rôle est notamment d’agir dans les situations de crise, du type prise d’otages, retranchement de forcenés ou arrestation de malfaiteurs à haut risque (grand banditisme), mais aussi de contribuer à la lutte antiterroriste en apportant son concours à l’Unité de coordination de la lutte anti-terroriste (UCLAT) et aux autres services spécialisés, afin de mener des opérations de filature, d’observation, de renseignement et d’arrestations d’individus ou de groupes susceptibles de se livrer à des actions terroristes sur le territoire français.

Le service est basé à Bièvres, sur le domaine de Bel-Air, dans le département de l’Essonne, siège de l’unité centrale, et dispose, en outre, de sept antennes, réparties sur le territoire métropolitain, à Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg. Sa devise est : « Servir sans faillir ».

Le RAID fait partie de la force d’intervention de la police nationale. Placée sous l’autorité du directeur général de la police nationale, l’unité est dirigée par un fonctionnaire du corps de conception et de direction de la police nationale.

Le RAID ne peut être déplacé ou employé que sur ordre du directeur général de la police nationale. Il n’intervient que sous le commandement de sa hiérarchie. Il n’a pas compétence pour la suite judiciaire des faits sur lesquels il est intervenu. Il peut être mis à la disposition des préfets et des procureurs de la République qui en font la demande. Dans ce cas, l’autorité requérante définit la mission générale assignée à ce service. Le chef de l’unité chargé de l’exécution de la mission demeure seul responsable des conditions et des modalités techniques de son exécution. Les chefs des services territoriaux de police lui apportent leur concours4.

À compter du mois d’avril 2015, les sept GIPN métropolitains, situés dans les villes de Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg, sont officiellement incorporés au sein du RAID et en deviennent ses antennes territoriales5,6.

À l’issue de cette réforme, seuls les trois GIPN ultra-marins conservent ainsi leur dénomination d’origine.

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec 3 bracelets interchangeables : un bracelet cuir, 1 caoutchouc et 1 tactique en toile

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – Fabriqué en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S

BOITIER

Matériau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

AG6 3 LEGION ETRANGERE

Le design épuré et la robustesse de son boîtier en acier brossé incarnent intemporalité et efficacité. Son verre saphir inrayable et son mécanisme automatique de qualité garantissent la longévité de ses fonctionnalités.
Cette montre Légion étrangère se distingue des montres militaires courantes par son caractère unique hors du temps et des modes, ainsi que par ses marquages spécifiques Légion étrangère aux couleurs officielles vert et rouge.

Crée en 2013, cette montre a été réalisée en série limitée de 150 pièces et n’est plus disponible à la vente.

LEGION ETRANGERE

La Légion étrangère est un corps de l’armée de terre française disposant d’un commandement particulier. La légion est également indépendante du point de vue de son recrutement.

Formée en 1831 pour permettre l’incorporation de soldats étrangers dans l’armée française, une partie de ses unités a fait partie, jusqu’en 1962, fin de la période coloniale, du 19e corps d’armée, noyau de l’Armée d’Afrique.

L’engagement à la Légion est réservé aux hommes dont l’âge est compris entre 17 ans et 40 ans (dérogation possible) et a compté depuis sa création et jusqu’en 1963 plus de 600 000 soldats dont une majorité d’Allemands, suivi de 3 fois et demie moins d’Italiens, puis de Belges, mais aussi de Français, d’Espagnols et de Suisses. De nombreuses autres nationalités sont représentées, comme les pays d’Europe de l’Est et les Balkans, majoritaires dans les années 2000. Ce corps d’armée reste, pour la majorité, un moyen d’immigration privilégié afin de changer de vie, d’oublier son passé, de se faire oublier, ou tout simplement de trouver une vie meilleure. Pour quelques autres, le prestige de la Légion et l’amour du pays demeurent la cause de leur volontariat. Les motifs de l’engagement ainsi que le recrutement restent encore aujourd’hui un sujet plus ou moins tabou, même si le sujet est souvent abordé au sein de la Légion lors du processus de recrutement.

Les légionnaires, aussi appelés les Képis blancs, ont acquis leur notoriété lors des combats menés sur les champs de bataille du monde entier, notamment dans le cadre des conquêtes coloniales, des deux guerres mondiales, et les guerres d’Indochine et d’Algérie. Aujourd’hui, les légionnaires sont présents lors des conflits modernes pour des missions d’aide humanitaire, de protection des populations, de maintien de la paix ou parfois de soutien à des gouvernements étrangers, alliés à la France par des accords, dans les crises de leur pays.

Les traditions à la Légion étrangère constituent un ciment pour ce corps qui se traduit à travers les détails vestimentaires, les emblèmes et symboles spécifiques, les chants et musiques, et enfin par ses fêtes particulières. L’image qu’elle véhicule sur le public et les artistes est à l’origine de nombreuses œuvres dans tous les domaines : musique, cinéma, peinture, sculpture et littérature. Le code d’honneur du légionnaire dicte la conduite de ces hommes au quotidien, en temps de guerre comme en temps de paix.

Principalement constituée de régiments d’infanterie à ses débuts, la Légion étrangère comporte maintenant également des unités d’arme blindée et cavalerie, de parachutistes, de génie, où sont intégrés des spécialistes du combat en montagne, de jungle, en milieu désertique de reconnaissance ou encore de renseignement.

Le récit de CAMERONE – 30 Avril 1863

« L’armée française assiégeait Puebla. La Légion avait pour mission d’assurer, sur cent vingt kilomètres, la circulation et la sécurité des convois. Le colonel Jeanningros, qui commandait, apprend, le 29 avril 1863, qu’un gros convoi emportant trois millions en numéraire, du matériel de siège et des munitions était en route pour Puebla. Le capitaine Danjou, son adjudant-major, le décide à envoyer au-devant du convoi, une compagnie. La 3e compagnie du Régiment étranger fut désignée mais elle n’avait pas d’officier disponible. Le capitaine Danjou en prend lui-même le commandement et les sous-lieutenants Maudet, porte-drapeau, et Vilain, payeur, se joignent à lui volontairement.

Le 30 avril, à 1 heure du matin, la 3e compagnie, forte de trois officiers et soixante deux hommes, se met en route. Elle avait parcouru environ vingt kilomètres, quand, à 7 heures du matin, elle s’arrête à Palo Verde pour faire le café. À ce moment, l’ennemi se dévoile et le combat s’engage aussitôt. Le capitaine Danjou fait former le carré et, tout en battant en retraite, repousse victorieusement plusieurs charges de cavalerie, en infligeant à l’ennemi des premières pertes sévères.

Arrivé à la hauteur de l’auberge de Camerone, vaste bâtisse comportant une cour entourée d’un mur de trois mètres de haut, il décide de s’y retrancher, pour fixer l’ennemi, et retarder ainsi le plus possible le moment où celui-ci pourra attaquer le convoi.

Pendant que les hommes organisent à la hâte la défense de cette auberge, un officier mexicain, faisant valoir la grosse supériorite du nombre, somme le capitaine Danjou de se rendre. Celui-ci fait répondre : « Nous avons des cartouches et ne nous rendrons pas ». Puis, levant la main, il jura de se défendre jusqu’à la mort et fit prêter à ses hommes le même serment. Il était 10 heures. Jusqu’à 6 heures du soir, ces soixante hommes, qui n’avaient pas mangé ni bu depuis la veille, malgré l’extrême chaleur, la faim, la soif, résistent à 2 000 Mexicains : huit cents cavaliers, mille deux cents fantassins.

À midi, le capitaine Danjou est tué d’une balle en pleine poitrine. À 2 heures, le sous-lieutenant Vilain tombe, frappé d’une balle au front. À ce moment, le colonel mexicain réussit à mettre le feu à l’auberge.

Malgré la chaleur et la fumée qui viennent augmenter leurs souffrances, les légionnaires tiennent bon, mais beaucoup d’entre eux sont frappés. À 5 heures, autour du sous-lieutenant Maudet, ne restent que douze hommes en état de combattre. À ce moment, le colonel mexicain rassemble ses hommes et leur dit de quelle honte ils vont se couvrir s’ils n’arrivent pas à abattre cette poignée de braves (un légionnaire qui comprend l’espagnol traduit au fur et à mesure ses paroles). Les Mexicains vont donner l’assaut général par les brèches qu’ils ont réussi à ouvrir, mais auparavant, le colonel Milan adresse encore une sommation au sous-lieutenant Maudet ; celui-ci la repousse avec mépris.

L’assaut final est donné. Bientôt il ne reste autour de Maudet que cinq hommes : le caporal Maine, les légionnaires Catteau, Wensel, Constantin, Leonhard. Chacun garde encore une cartouche ; ils ont la baïonnette au canon et, réfugiés dans un coin de la cour, le dos au mur, ils font face. À un signal, ils déchargent leurs fusils à bout portant sur l’ennemi et se précipitent sur lui à la baïonnette. Le sous-lieutenant Maudet et deux légionnaires tombent, frappés à mort. Maine et ses deux camarades vont être massacrés quand un officier mexicain se précipite sur eux et les sauve. Il leur crie : « Rendez-vous ! »

« Nous nous rendrons si vous nous promettez de relever et de soigner nos blessés et si vous nous laissez nos armes ». Leurs baïonnettes restent menaçantes.

« On ne refuse rien à des hommes comme vous ! », répond l’officier.

Les soixante hommes du capitaine Danjou ont tenu jusqu’au bout leur serment. Pendant 11 heures, ils ont résisté à deux mille ennemis, en ont tué trois cents et blessé autant. Ils ont par leur sacrifice, en sauvant le convoi, rempli la mission qui leur avait été confiée.

L’empereur Napoléon III décida que le nom de Camerone serait inscrit sur le drapeau du Régiment étranger et que, de plus, les noms de Danjou, Vilain et Maudet seraient gravés en lettres d’or sur les murs des Invalides à Paris.

En outre, un monument fut élevé en 1892 sur l’emplacement du combat. Il porte l’inscription :

« Ils furent ici moins de soixante opposés à toute une armée, sa masse les écrasa. La vie plutôt que le courage abandonna ces soldats Français le 30 avril 1863. A leur mémoire, la patrie éleva ce monument »

Depuis, lorsque les troupes mexicaines passent devant le monument, elles présentent les armes. »

Fiche technique

BRACELETS

Son bracelet est taillé dans le même cuir que les  tabliers de Pionniers de la Légion étrangère.
Livré aussi avec un bracelet tactique en toile.

MÉCANISME

Calibre : ETA 2824 – Fabriqué en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 25r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S

BOITIER

Matériau : Boîte acier 316L
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

TIMER OPS LEGION ETRANGERE

Le chronographe à quartz Légion étrangère est un produit technique précis au 1/20e de seconde.

Son cadran est orné des marquages de la Légion étrangère. Les aiguilles et le cadran sont traités au Super Luminova afin d’offrir une lisibilité maximale dans toutes conditions. Le chronographe de la Légion a une étanchéité contrôlée à 200 mètres.

LEGION ETRANGERE

La Légion étrangère est un corps de l’armée de terre française disposant d’un commandement particulier. La légion est également indépendante du point de vue de son recrutement.

Formée en 1831 pour permettre l’incorporation de soldats étrangers dans l’armée française, une partie de ses unités a fait partie, jusqu’en 1962, fin de la période coloniale, du 19e corps d’armée, noyau de l’Armée d’Afrique.

L’engagement à la Légion est réservé aux hommes dont l’âge est compris entre 17 ans et 40 ans (dérogation possible) et a compté depuis sa création et jusqu’en 1963 plus de 600 000 soldats dont une majorité d’Allemands, suivi de 3 fois et demie moins d’Italiens, puis de Belges, mais aussi de Français, d’Espagnols et de Suisses. De nombreuses autres nationalités sont représentées, comme les pays d’Europe de l’Est et les Balkans, majoritaires dans les années 2000. Ce corps d’armée reste, pour la majorité, un moyen d’immigration privilégié afin de changer de vie, d’oublier son passé, de se faire oublier, ou tout simplement de trouver une vie meilleure. Pour quelques autres, le prestige de la Légion et l’amour du pays demeurent la cause de leur volontariat. Les motifs de l’engagement ainsi que le recrutement restent encore aujourd’hui un sujet plus ou moins tabou, même si le sujet est souvent abordé au sein de la Légion lors du processus de recrutement.

Les légionnaires, aussi appelés les Képis blancs, ont acquis leur notoriété lors des combats menés sur les champs de bataille du monde entier, notamment dans le cadre des conquêtes coloniales, des deux guerres mondiales, et les guerres d’Indochine et d’Algérie. Aujourd’hui, les légionnaires sont présents lors des conflits modernes pour des missions d’aide humanitaire, de protection des populations, de maintien de la paix ou parfois de soutien à des gouvernements étrangers, alliés à la France par des accords, dans les crises de leur pays.

Les traditions à la Légion étrangère constituent un ciment pour ce corps qui se traduit à travers les détails vestimentaires, les emblèmes et symboles spécifiques, les chants et musiques, et enfin par ses fêtes particulières. L’image qu’elle véhicule sur le public et les artistes est à l’origine de nombreuses œuvres dans tous les domaines : musique, cinéma, peinture, sculpture et littérature. Le code d’honneur du légionnaire dicte la conduite de ces hommes au quotidien, en temps de guerre comme en temps de paix.

Principalement constituée de régiments d’infanterie à ses débuts, la Légion étrangère comporte maintenant également des unités d’arme blindée et cavalerie, de parachutistes, de génie, où sont intégrés des spécialistes du combat en montagne, de jungle, en milieu désertique de reconnaissance ou encore de renseignement.

Le récit de CAMERONE – 30 Avril 1863

« L’armée française assiégeait Puebla. La Légion avait pour mission d’assurer, sur cent vingt kilomètres, la circulation et la sécurité des convois. Le colonel Jeanningros, qui commandait, apprend, le 29 avril 1863, qu’un gros convoi emportant trois millions en numéraire, du matériel de siège et des munitions était en route pour Puebla. Le capitaine Danjou, son adjudant-major, le décide à envoyer au-devant du convoi, une compagnie. La 3e compagnie du Régiment étranger fut désignée mais elle n’avait pas d’officier disponible. Le capitaine Danjou en prend lui-même le commandement et les sous-lieutenants Maudet, porte-drapeau, et Vilain, payeur, se joignent à lui volontairement.

Le 30 avril, à 1 heure du matin, la 3e compagnie, forte de trois officiers et soixante deux hommes, se met en route. Elle avait parcouru environ vingt kilomètres, quand, à 7 heures du matin, elle s’arrête à Palo Verde pour faire le café. À ce moment, l’ennemi se dévoile et le combat s’engage aussitôt. Le capitaine Danjou fait former le carré et, tout en battant en retraite, repousse victorieusement plusieurs charges de cavalerie, en infligeant à l’ennemi des premières pertes sévères.

Arrivé à la hauteur de l’auberge de Camerone, vaste bâtisse comportant une cour entourée d’un mur de trois mètres de haut, il décide de s’y retrancher, pour fixer l’ennemi, et retarder ainsi le plus possible le moment où celui-ci pourra attaquer le convoi.

Pendant que les hommes organisent à la hâte la défense de cette auberge, un officier mexicain, faisant valoir la grosse supériorite du nombre, somme le capitaine Danjou de se rendre. Celui-ci fait répondre : « Nous avons des cartouches et ne nous rendrons pas ». Puis, levant la main, il jura de se défendre jusqu’à la mort et fit prêter à ses hommes le même serment. Il était 10 heures. Jusqu’à 6 heures du soir, ces soixante hommes, qui n’avaient pas mangé ni bu depuis la veille, malgré l’extrême chaleur, la faim, la soif, résistent à 2 000 Mexicains : huit cents cavaliers, mille deux cents fantassins.

À midi, le capitaine Danjou est tué d’une balle en pleine poitrine. À 2 heures, le sous-lieutenant Vilain tombe, frappé d’une balle au front. À ce moment, le colonel mexicain réussit à mettre le feu à l’auberge.

Malgré la chaleur et la fumée qui viennent augmenter leurs souffrances, les légionnaires tiennent bon, mais beaucoup d’entre eux sont frappés. À 5 heures, autour du sous-lieutenant Maudet, ne restent que douze hommes en état de combattre. À ce moment, le colonel mexicain rassemble ses hommes et leur dit de quelle honte ils vont se couvrir s’ils n’arrivent pas à abattre cette poignée de braves (un légionnaire qui comprend l’espagnol traduit au fur et à mesure ses paroles). Les Mexicains vont donner l’assaut général par les brèches qu’ils ont réussi à ouvrir, mais auparavant, le colonel Milan adresse encore une sommation au sous-lieutenant Maudet ; celui-ci la repousse avec mépris.

L’assaut final est donné. Bientôt il ne reste autour de Maudet que cinq hommes : le caporal Maine, les légionnaires Catteau, Wensel, Constantin, Leonhard. Chacun garde encore une cartouche ; ils ont la baïonnette au canon et, réfugiés dans un coin de la cour, le dos au mur, ils font face. À un signal, ils déchargent leurs fusils à bout portant sur l’ennemi et se précipitent sur lui à la baïonnette. Le sous-lieutenant Maudet et deux légionnaires tombent, frappés à mort. Maine et ses deux camarades vont être massacrés quand un officier mexicain se précipite sur eux et les sauve. Il leur crie : « Rendez-vous ! »

« Nous nous rendrons si vous nous promettez de relever et de soigner nos blessés et si vous nous laissez nos armes ». Leurs baïonnettes restent menaçantes.

« On ne refuse rien à des hommes comme vous ! », répond l’officier.

Les soixante hommes du capitaine Danjou ont tenu jusqu’au bout leur serment. Pendant 11 heures, ils ont résisté à deux mille ennemis, en ont tué trois cents et blessé autant. Ils ont par leur sacrifice, en sauvant le convoi, rempli la mission qui leur avait été confiée.

L’empereur Napoléon III décida que le nom de Camerone serait inscrit sur le drapeau du Régiment étranger et que, de plus, les noms de Danjou, Vilain et Maudet seraient gravés en lettres d’or sur les murs des Invalides à Paris.

En outre, un monument fut élevé en 1892 sur l’emplacement du combat. Il porte l’inscription :

« Ils furent ici moins de soixante opposés à toute une armée, sa masse les écrasa. La vie plutôt que le courage abandonna ces soldats Français le 30 avril 1863. A leur mémoire, la patrie éleva ce monument »

Depuis, lorsque les troupes mexicaines passent devant le monument, elles présentent les armes. »

Fiche technique

BRACELETS

Livré avec un bracelet cuir et un bracelet tactique en toile.

MÉCANISME

Calibre : OS60 série professionnelle précis au 1/20es
Remontage: Quartz

BOITIER

Matériau : Acier 316L – PVD Noir
Cadran : Noir mat avec index Super Luminova
Verre : Minéral renforcé
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 6mm
Dimension : 42mm
Epaisseur : 13,5mm

AG8 UTC NAVAL AVIATION

Montre réalisée en série limitée, avec et pour les pilotes de la NAVAL AVIATION et nottament le pilote Jerry Leeky avec fonction UTC. Montre avec deuxième fuseau horaire en 24h. Cette sére est réalisée en série limitée de 150 pièces, toutes versions confondues.

US NAVAL AVIATION

La United States Navy ou US Navy est la marine de guerre des États-Unis et représente l’une des cinq composantes des Forces armées des États-Unis.

Elle est depuis la Seconde Guerre mondiale la première force aéronavale au monde. Elle dépend du secrétaire à la Marine des États-Unis et elle est dirigée par le Chief of Naval Operations.

L’US Navy est composée en février 2014 de plus de 283 bâtiments de combat dont les plus imposants (et importants) sont ses 10 porte-avions géants et d’une aéronautique navale comportant environ 3 700 aéronefs opérationnels. Il faut y ajouter les 110 bâtiments auxiliaires, de soutien et de transport opérationnel, ravitailleurs et pétroliers, et les transports du Military Sealift Command ainsi que la Flotte de réserve.

Plus d’un demi-million d’hommes et de femmes en font partie, que ce soit en service actif (226 551 au 30 septembre 20071) ou dans la réserve.

Son budget est, en 2015, au premier rang des branches des forces des États-Unis avec 147,7 milliards de dollars américains dont 22 milliards consacré à la construction navale et aux systèmes maritimes.

L’US Marine Corps dépend administrativement de l’US Navy. En cas de guerre, les forces de l’United States Coast Guard, qui relèvent du Département de la Sécurité intérieure, sont placées sous le commandement de l’US Navy.

Fiche technique

BRACELETS

Livrée avec 3 bracelets interchangeables : 1 cuir naturel, 1 canvas beige et 1 caoutchouc noir.

MÉCANISME

Calibre : ETA 2893-2 – Fabriqué en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 21r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S+Date

BOITIER

Matériau : Acier 316L
Cadran : Bleu avec index Super Luminova BGW9
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

AG8 UTC USMC

Montre réalisée en série limitée, avec et pour les pilotes de l’USMC avec fonction UTC. Montre avec deuxième fuseau horaire en 24h. Cette série est réalisée en série limitée de 150 pièces, toutes versions confondues.

USMC : US MARINE CORPS

Le United States Marine Corps (en français : « le corps des Marines des États-Unis »), également abrégé en US Marine Corps ou par le sigle USMC, est une des cinq branches des Forces armées des États-Unis.

Il s’agit surtout des fusiliers marins (infanterie initialement de la Marine) de ce pays, mais le Corps a aussi ses aviateurs, ses hélicoptères, ses artilleurs, ses tankistes donc sa cavalerie et ses marins.

Bien que dépendant sur le plan administratif du Département de la Marine, il ne dépend pas de l’US Navy. Il a été mis en place le 11 juillet 1798 par un acte du Congrès des États-Unis d’Amérique, bien que deux bataillons de Marines, en tant que troupes d’infanterie embarquée, aient été constitués dès le 10 novembre 1775 sous le nom de Continental Marines au cours de la Révolution américaine.

Le Marine Corps est la seule branche des forces armées américaines qui soit protégée par la loi. Après bien des discussions et tentatives de l’US Army de l’intégrer dans ses rangs entre la Seconde Guerre mondiale et la guerre de Corée, sa taille et sa composition ont été énoncées dans l’arrêt 416 d’une loi-programme du 82e Congrès en 1952. Cette loi précise qu’aucun président des États-Unis ou Secrétaire de la Défense ne peut dissoudre le Corps des Marines ou le réduire à une force symbolique. L’USMC doit se composer au minimum d’unités terrestres équivalentes à l’effectif de trois divisions et de trois Marine Air Wings (escadres aériennes).

Surnommés les « nuques de cuir » (leathernecks), les Marines ont été engagés depuis leur création dans plus de trois cents théâtres d’opérations.

Ils disposent de leur propre force aérienne, infanterie, régiments blindés, régiments d’artillerie, unités spéciales d’intervention (MARSOC) et logistique. Ils s’appuient parfois sur l’US Navy pour leurs opérations via les bâtiments de débarquement de la Gator Navy (force amphibie américaine).

Leur rôle dans le dispositif militaire américain est d’agir très rapidement dans le cadre d’une force expéditionnaire autonome sans attendre les moyens lourds de l’US Army.

Fiche technique

BRACELETS

Livrée avec 3 bracelets interchangeables : 1 cuir noir, 1 canvas kaki et 1 caoutchouc noir

MÉCANISME

Calibre : ETA 2893-2 – Fabriqué en Suisse
Fréquence : 28800/h
Rubis : 21r
Réserve de marche : 42h
Remontage : Automatique, H+M+S+Date

BOITIER

Matériau : Acier 316L
Cadran : Noir avec index Super Luminova BGW9
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

RAID EDITION LIMITEE 1985-2015

Montre réalisée en édition limitée pour le 30ème anniversaire du RAID (1985-2015). Cette montre a été exclusivement dédiée aux membres de ce prestigieux groupement d’intervention.

Crée en 2015, cette montre a été réalisée en série limitée et n’est plus disponible à la vente.

RAID : RECHERCHE, ASSISTANCE, INTERVENTION, DISSUASION

Le RAID est une unité d’élite de la Police nationale française. Le nom est choisi en référence au mot « raid », désignant un assaut militaire, mais a reçu par rétro acronymie le sens Recherche, Assistance, Intervention, Dissuasion.

Fondée en 1985, par Robert Broussard et Ange Mancini notamment, l’unité participe sur l’ensemble du territoire national à la lutte contre toutes les formes de criminalité et de grand banditisme.

Placé sous l’autorité directe du directeur général de la Police nationale, le RAID est appelé à intervenir à l’occasion d’événements graves, nécessitant l’utilisation de techniques et de moyens spécifiques pour neutraliser les individus dangereux, par la négociation ou l’intervention.

Son rôle est notamment d’agir dans les situations de crise, du type prise d’otages, retranchement de forcenés ou arrestation de malfaiteurs à haut risque (grand banditisme), mais aussi de contribuer à la lutte antiterroriste en apportant son concours à l’Unité de coordination de la lutte anti-terroriste (UCLAT) et aux autres services spécialisés, afin de mener des opérations de filature, d’observation, de renseignement et d’arrestations d’individus ou de groupes susceptibles de se livrer à des actions terroristes sur le territoire français.

Le service est basé à Bièvres, sur le domaine de Bel-Air, dans le département de l’Essonne, siège de l’unité centrale, et dispose, en outre, de sept antennes, réparties sur le territoire métropolitain, à Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg. Sa devise est : « Servir sans faillir ».

Le RAID fait partie de la force d’intervention de la police nationale. Placée sous l’autorité du directeur général de la police nationale, l’unité est dirigée par un fonctionnaire du corps de conception et de direction de la police nationale.

Le RAID ne peut être déplacé ou employé que sur ordre du directeur général de la police nationale. Il n’intervient que sous le commandement de sa hiérarchie. Il n’a pas compétence pour la suite judiciaire des faits sur lesquels il est intervenu. Il peut être mis à la disposition des préfets et des procureurs de la République qui en font la demande. Dans ce cas, l’autorité requérante définit la mission générale assignée à ce service. Le chef de l’unité chargé de l’exécution de la mission demeure seul responsable des conditions et des modalités techniques de son exécution. Les chefs des services territoriaux de police lui apportent leur concours4.

À compter du mois d’avril 2015, les sept GIPN métropolitains, situés dans les villes de Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nice, Rennes et Strasbourg, sont officiellement incorporés au sein du RAID et en deviennent ses antennes territoriales5,6.

À l’issue de cette réforme, seuls les trois GIPN ultra-marins conservent ainsi leur dénomination d’origine.

Fiche technique

BRACELETS

Livrée avec 3 bracelets interchangeables : 1 cuir noir, 1 toile tactique noir et 1 caoutchouc noir.

MÉCANISME

Calibre : Chronographe Ronda 5021.D – Fabriqué en Suisse
Remontage : Quartz

BOITIER

Matériau : Acier 316L PVD noir
Cadran : noir avec index et aiguilles en Super Luminova C3
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L PVD noir
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

BRI NATIONALE 2006-2016

 

Montre réalisée en édition limitée pour le 10ème anniversaire de Brigade de Recherche et d’Intervention Nationale (BRI) qui dépend de la Direction Centrale de la Police Judiciaire.

Les brigades de Bayonne, Lille, Marseille, Nantes, Strasbourg et Versailles ont également réalisés leur version spécialisée.
Cette montre a été exclusivement dédiée aux membres de ce prestigieux groupement d’intervention.

Crée en 2016, cette montre a été réalisée en série limitée et n’est plus disponible à la vente.

RAID : RECHERCHE, ASSISTANCE, INTERVENTION, DISSUASION

Les Brigades de recherche et d’intervention (BRI), communément appelées brigades antigang ou simplement l’Antigang, sont des unités d’enquête et d’intervention de la police judiciaire française.

Mis à part la BRI-PP qui dépend uniquement de la DRPJ de Paris, les autres BRI dépendent de l’Office central de lutte contre le crime organisé (OCLCO, ex-OCRB) et sont mises à disposition des DRPJ ou DIPJ, (directions régionales ou interrégionales de police judiciaire) et de leurs composantes (SRPJ, antennes PJ), ainsi que des autres services de police qui les sollicitent (sécurité publique, GIR, police d’un état étranger, etc.)

La plus ancienne des BRI est celle de la Préfecture de police de Paris ou BRI-PP. En cas de crise, elle forme la brigade anticommando (BAC), avec le renfort d’autres unités de la PP. On parle également de BRI en formation BAC ou de BRI-BAC. La brigade anticommando fait partie, avec le RAID et les GIPN implantés outre-mer, de la Force d’intervention de la Police nationale.

Fiche technique

BRACELETS

Livrée avec 3 bracelets interchangeables : 1 cuir noir, 1 toile tactique noir et 1 caoutchouc noir.

MÉCANISME

Calibre : Chronographe Ronda 5021.D – Fabriqué en Suisse
Remontage : Quartz

BOITIER

Matériau : Acier 316L PVD noir
Cadran : noir avec index et aiguilles en Super Luminova C3
Verre : Saphir inrayable traité anti-reflets 4mm
Fond : Massif acier 316L PVD noir
Couronne : Vissée diamètre 9mm
Dimension : 44mm
Epaisseur : 15,5mm

MATWATCHES